var _gaq = _gaq []; 'UA-28644221-1']; function { var ga = = 'text/javascript'; = true; = 'https' == ? 'https//' 'https//' + ' var s = s; }; Skip to content ProduitTarifsConnexionInscriptionFRENESPT Facture freelance comment facturer une prestation de services 5 minutesVous avez franchi le pas pour devenir travailleur autonome et décroché votre premier contrat. Vous avez de bonnes relations avec votre client qui est satisfait du travail fourni. Voilà une première phase, parfois compliquée, brillamment terminée. Vous allez maintenant pouvoir passer à l’étape suivante la facturation. Vous ne travaillez certainement pas gratuitement et il est temps maintenant de demander à votre client de vous rémunérer pour les prestations fournies. Établir une facture n’est pas très compliqué mais nécessite de suivre un certain nombre de règles et notamment de s’assurer que l’intégralité des mentions obligatoires sont bien présentes. L’utilisation d’un logiciel de facturation est un plus indéniables pour la création de factures comme pour leur suivi. Comment facturer une prestation de services ? Avant de démarrer votre prestation de service, vous avez établit un devis décrivant les livrables et le montant demandé qui aura été accepté et signé par le client. C’est sur ce document que vous vous baserez pour établir votre facture freelance. La première règle, toute simple, est que la facture doit correspondre au devis accepté. Le prix de chaque prestation facturée devra correspondre à celui annoncé dans le devis. Il est possible d’ajouter des prestations supplémentaires, à condition naturellement qu’elles aient été auparavant validées par le client et réalisées entièrement. La partie la plus complexe de la facturation peut ensuite provenir du calcul de la TVA Taxe sur la Valeur Ajoutée. Les différents taux de TVA Nous trouvons quatre taux de TVA en France Le taux standard de 20%, qui s’applique à la plupart des ventes de biens et de prestations de services, Le taux intermédiaire de 10%, qui s’applique à la restauration, à la vente de produits alimentaires préparés, au transport et aux travaux de rénovation dans l’ancien, Le taux réduit, qui s’applique aux produits de première nécessité, comme les produits d’alimentation, l’énergie mais aussi le transport de voyageurs, les spectacles ou certains travaux pour la résidence principale, Le taux particulier, qui s’applique aux médicaments remboursables, aux publications de presse… Comment savoir quel taux de TVA appliquer ? Le cas le plus simple est celui du micro-entrepreneur anciennement auto-entrepreneur. Bénéficiant d’un régime micro-fiscal particulier, le micro-entrepreneur profite d’une franchise de TVA dès lors que son chiffre d’affaires annuel se situe en-dessous d’un certain seuil. Pour des prestations de services artisanales, commerciales, location d’habitations meublées le plafond est de 70 000 euros. Si le chiffre d’affaires du micro-entrepreneur dépasse le plafond, il peut continuer son activité, mais il sera alors soumis à la TVA. Dans le cas d’un autre statut d’entreprise, la société est soumise à la TVA. Le principe est simple. L’entrepreneur facture la TVA à ses clients, la collecte, puis la reverse à l’Etat. Le taux de TVA appliqué dépend de la prestation facturée. Si une facture concerne plusieurs prestations différentes, plusieurs taux différents peuvent s’appliquer. L’entreprise de son côté paie également la TVA à ses fournisseurs, mais ce montant est déductible. Cette TVA déductible est donc soustraite de la TVA collectée auprès de ses clients. Si le solde est positif, l’entreprise verse la différence à l’Etat. Dans le cas contraire, elle bénéficie d’un crédit de TVA qui pourra être remboursé ou déduit des prochains excédents de TVA. Quel délai pour émettre une facture ? La facture correspondant à une prestation de services doit être émise et transmise au client dès la fin de la réalisation. Néanmoins, il n’est pas toujours possible de respecter cette règle, à cause d’un délai de gestion administrative par exemple. Dans ce cas, un différé de deux à quatre semaines est généralement toléré. Dans le cas de prestations de services multiples pour un client durant un même mois, l’entreprise peut être dispensée d’émettre une facture à chaque prestation. En remplacement, un bon de livraison peut être délivré à l’issue d’une prestation. La facture récapitulative devra en revanche être émise à la fin du mois. Comment faire un avoir sur une facture ? Une facture adressée à un client pour obtenir un paiement est appelée facture de doit ». Une facture d’avoir » en revanche, correspond à l’annulation de tout ou une partie d’une facture précédente. Il peut s’agir d’une erreur de facturation qu’il faut rectifier, d’un avoir commercial ou d’un retour de marchandise. En créant une facture d’avoir, vous annulez en fait une partie de votre chiffre d’affaires. L’avoir se présente exactement de la même façon qu’une facture. Au lieu d’une somme à payer, il est indiqué qu’il s’agit d’un avoir. Il est particulièrement important d’avoir un suivi très précis des avoirs, car sinon vous risquez de déclarer un chiffre d’affaires qui n’aura pas été réellement encaissé et par conséquent de mettre en difficulté votre entreprise. Quelles sont les mentions obligatoires sur une facture ? Certaines mentions doivent obligatoirement apparaître sur une facture pour que celle-ci soit valide. Les mentions fiscales suivantes doivent figurer sur toute facture Un numéro de facture unique, La date d’émission de la facture, Le nom complet et l’adresse du prestataire ainsi que du client, Le numéro individuel d’identification à la TVA du prestataire, Le total hors taxes et le montant de la TVA, La date à laquelle le règlement doit être réceptionné, Les conditions éventuelles d’escompte, Les pénalités exigibles en cas de non règlement dans les temps, La mention de l’indemnité forfaitaire pour frais de recouvrement en cas de retard de paiement. Chaque ligne de la facture désignant une prestation doit comporter les mentions suivantes La date de réalisation de la prestation, La dénomination précise, la quantité, le prix unitaire hors taxes et le taux de TVA applicable, Les rabais, remises ou escomptes directement liés à la prestation. Certaines opérations particulières nécessitent en plus des mentions spécifiques TVA non applicable, article 293B du Code général des impôts » pour les entreprises soumises au régime de la franchise de TVA comme les micro-entrepreneurs, Les numéros de TVA intracommunautaire du prestataire et du client et la mention Exonération de TVA, article 262 ter, I du CGI » pour les livraisons intracommunautaires de marchandise. Pourquoi utiliser un logiciel de facturation en ligne ? Plusieurs possibilités s’offrent à vous pour l’édition de factures. Il est possible de les éditer manuellement, d’utiliser un logiciel de facturation installé sur son ordinateur ou bien d’opter pour un logiciel de facturation en ligne. L’avantage d’utiliser un logiciel de facturation est qu’il automatise un certain nombre de tâches répétitives et sécurise le processus. Un tel logiciel permet notamment la gestion d’un fichier client, d’un catalogue de prestations, la création de devis et leur conversion en factures et naturellement la numérotation automatique des factures. La gestion et le suivi des factures est simplifié, ainsi que la relance en cas d’impayés. Le logiciel permet également d’effectuer le calcul des impôts, la génération de documents comptables et de statistiques. L’intérêt d’un logiciel de facturation en ligne est qu’il n’est pas dépendant du système d’exploitation que vous utilisez, Windows, iOS ou Linux. Le logiciel est hébergé dans le Cloud et est accessible où que vous soyez, à partir du moment où vous disposez d’un accès Internet et d’un ordinateur, d’une tablette ou d’un smartphone. Toutes vos données sont sécurisées. L’accès en est restreint et des sauvegardes régulières sont effectuées par l’hébergeur. Vous ne risquez plus ainsi de perdre toutes ces informations critiques comme cela pourrait être le cas avec un stockage local. Modèle de facture freelance Il n’est pas toujours facile de créer son modèle de facture personnalisé et professionnel. Afin de simplifier ce processus, il est possible d’utiliser un modèle de facture et de le personnaliser pour mettre en avant l’identité visuelle de l’entreprise. Le logiciel de gestion de projet Nutcache propose notamment une fonctionnalité de facturation en ligne très complète. Ce module comprend plusieurs modèles de facture freelance professionnels qu’il est possible de personnaliser. Il est possible d’ajouter son logo, de choisir les couleurs… Pour conclure sur la facture freelance Dans le cadre de votre activité de travailleur freelance, vous serez forcément amené à rédiger des factures. Il est indispensable de respecter toutes les règles de mise en forme et d’apposer les mentions obligatoires afin de rester dans la légalité. L’utilisation d’un outil de facturation en ligne comme Nutcache permet de gérer l’intégralité du processus. N’hésitez pas à tester la version complète gratuitement durant 14 jours. Marc Guévin2019-03-12T184030+0000 Share This Story, Choose Your Platform! Marc has been part of the Nutcache team since day one. As the marketing specialist, Marc does his best to develop the Nutcache brand and make it shine by sharing the Nutcache love with all business owners out there. = Related Posts Page load link
Dans cet article vous allez découvrir les méthodes pour fixer le prix de vente de son produit ou service. Il s’agit d’une grande question à quel prix devez-vous vendre pour faire de la marge et néanmoins attirer des clients ? Pour répondre à cette question, il faut déjà savoir si vous vendez un produit ou un service ? Si vous vendez un produit, il faudra faire la différence entre un produit vendu après un achat et revente ou un achat avec transformation puis revente. Dans le premier cas, vous achetez un produit à un grossiste par exemple puis vous le revendez directement. Fixer le prix de vente de son produit ou service Dans le second cas, vous achetez un produit que vous transformez par exemple un collier où vous ajoutez un élément visuel dans le collier puis vous le revendez. Il y a donc une étape de transformation entre l’achat et la vente. Cette étape prend du temps, vous devrez utiliser du matériel… il s’agit de coût à intégrer dans le prix. Si vous vendez un service par exemple formation informatique, développement web en freelance… le calcul sera également différent comme vous allez le voir par la suite. Vous pouvez aussi consulter la calculatrice du coût horaire d’un service. L’objectif quand on fixe son prix de vente ? Le prix de vente de votre produit ou service va définir la marge et le bénéfice que vous allez en tirer. Il peut également être un élément déclencheur ou non pour vos clients. Il faut bien réfléchir avant de définir sa politique de prix. On constate souvent que des entrepreneurs démarrent leur activité avec une politique de prix bas pour se positionner sur un marché. Cela fait partie des erreurs qu’il ne faut pas faire. En effet, vous allez rogner votre marge et vous risquez de mettre en péril votre entreprise au moment où celle-ci est très fragile. Vous pouvez donc utiliser ce procédé de manière épisodique pour acquérir des nouveaux clients, mais il ne faut pas que cela devienne récurrent. Néanmoins, cela peut aussi être une stratégie, comme les constructeurs d’imprimantes qui vendent leurs matériels à des coûts assez relativement bas pour se rattraper sur les consommables cartouches, tambours…. Il faut savoir qu’un prix élevé n’est pas forcément un frein pour vos acheteurs il suffit de regarder les produits de luxe, il peut s’agir d’un effet de mode ou d’une marque notamment. Vous pouvez créer différentes gammes de prix avec vos produits… un produit d’entrée de gamme, milieu de gamme et haut de gamme par exemple. Pour cela, il faut étudier deux points clés qui permettront de fixer le prix de vente de son produit ou service. Il s’agit du coût de revient et de la marge comme vous allez le voir dans la prochaine étape. Vous vous demandez comment fixer le prix de vente de son produit ou service ? Vous allez découvrir les différents calculs qui vous permettront d’être plus efficace pour le déterminer. L’idéal est d’avoir réalisé une étude de marché avant. En effet, vous aurez récupéré des informations sur vos concurrents et leurs tarifs, sur votre marché et sur vos clients. C’est une première approche, mais elle ne vous permettra pas de fixer vos tarifs, vous allez devoir évaluer le coût de revient de votre produit ou de votre service pour calculer la marge nécessaire pour développer votre entreprise. C’est un croisement de ces deux derniers éléments qui vous permettra de fixer le prix. D’un côté vous saurez le prix nécessaire à votre développement, de l’autre vous pourrez l’affiner avec les données collectées lors de l’étude de marché. Calculer le coût de revient La première chose que l’on doit calculer pour fixer le prix de vente de son produit ou service est le coût de revient, mais il faut déjà connaître sa composition. Il est ainsi connu à partir des différents coûts que vous aurez pour faire le produit ou service. On peut donc imaginer tout un tas de dépenses qui vont intégrer le calcul. Dans un premier temps, on pense généralement à la matière première. Mais vous allez devoir ajouter de nombreux postes que l’on peut diviser en quatre grandes catégories 1 – La première concerne les dépenses courantes, la matière comme indiqué précédemment, l’assurance, internet, forfait de téléphone, électricité, le loyer, comptable … Pour ces derniers vous pouvez calculer un petit pourcentage du montant pour l’inclure dans le prix. 2 – La seconde concerne la partie préparation, les ressources que vous allez utiliser pour préparer votre produit avant de le vendre. Il peut s’agir de votre main d’œuvre, vous pouvez également sous-traiter une partie de la fabrication du produit ou de votre service, on peut intégrer le matériel utilisé qui peut notamment avoir un coût élevé ou être une location… 3 – La troisième concerne la distribution de votre produit, on se place principalement dans le cadre de la vente. Il faudra donc ajouter les frais de port ou les emballages par exemple. 4 – La dernière catégorie concerne tous les autres coûts que l’on ne peut pas placer dans les trois premières catégories. Par exemple, pour un avocat qui devrait défendre une affaire devant un tribunal du commerce, il peut avoir besoin de régler un timbre fiscal au tribunal. Il s’agit de frais qui n’ont aucun rapport avec sa prestation de service, mais qui devront être payés. Il devra donc les ajouter au prix de sa prestation. Si vous faites de l’achat & revente sans modification, le calcul du coût de revient sera => prix d’achat + frais + coût de votre stockage + charges sociales + impôts + frais divers Si vous faites de l’achat & revente en transformant le produit, le calcul du coût de revient sera => prix d’achat + frais + coût de votre stockage + taux horaire de la transformation + charges sociales + impôts + frais divers Si vous faites de la prestation de service, le calcul du coût de revient sera => taux horaire + charges sociales + impôts + frais divers Calculer la marge Dans un second temps, il faut calculer la marge souhaitée pour fixer le prix de vente de son produit ou service. Selon le produit ou le service que vous vendez, le calcul de la marge sera différent. L’objectif minimum de la marge est de vous rémunérer. Une autre possibilité, c’est d’insérer votre rémunération dans le coût de revient pour calculer la marge réelle que vous souhaitez. La connaissance de cette mage vous permettra de négocier vos prix si besoin. Vous saurez quelle est votre marge » de négociation. Selon le type de vente que vous réalisez, le calcul de la marge sera différent. Vous trouverez ci-dessous comment la calculer selon votre prestation. Si vous faites de l’achat & revente sans modification, le calcul de la marge sera => prix de vente – prix d’achat – vos charges Si vous faites de l’achat & revente en transformant le produit, le calcul de la marge sera => prix de vente – prix d’achat – coût de transformation – vos charges Si vous faites de la prestation de service, le calcul de la marge sera => prix de vente – vos charges Calculer le prix de vente Vous avez désormais les deux principaux éléments pour constituer votre prix de vente. Ainsi, il vous suffit d’additionner le coût de revient et la marge souhaitée pour obtenir votre prix de vente. Calculer le prix de vente d’un produit ou service Une autre méthode est de choisir son prix de vente selon les données du marché sur lequel on se trouve le prix des concurrents par exemple, vous trouverez ainsi votre marge marge = prix de vente – coût de revient. Le problème de cette méthode est que vous ne pouvez pas fixer le prix idéal pour obtenir la marge que vous souhaitez, c’est le marché qui fait sa loi en quelque sorte.
Pource client particulier, votre chiffre d'affaires relève bien de la catégorie "prestations de services". Mais votre activité habituelle relevant de la catégorie "ventes de biens-marchandises", pour peu que cette fabrication avec fournitures de matières ne vous prenne pas un temps trop conséquent, vous faites vos déclarations commeIl existe plusieurs natures d’activité au cœur du régime de la microentreprise. On parle d’activités artisanales, industrielles et commerciales ou libérales. Selon la nature de l’activité, le régime d’imposition n’est pas le même on distingue les activités relevant des BIC bénéfices industriels et commerciaux, et des BNC bénéfices non commerciaux. Comment savoir ce qu’on doit choisir quand on déclare son chiffre d’affaires à l’URSSAF ? Focus sur les prestations de services autoentrepreneur et la différence entre prestations commerciales et libérales. Les prestations de services définition et différences Qu’est-ce qu’une prestation de service en microentreprise ? On distingue trois grands types d’activités en microentreprise les activités d’achat/vente, les prestations de services commerciales et les prestations de services libérales. En tant qu’autoentrepreneur, vous pouvez exercer une activité artisanale, industrielle et commerciale ou libérale. Il s’agit de la nature de l’activité, qui est ensuite classée sous le régime d’imposition des BIC ou des BNC. De manière générale, vous avez donc le choix entre deux types d’activités l’achat et la vente de marchandises où vous vendez ou louez un bien matériel un vendeur de vélo ou de bijoux, par exemple les prestations de services commerciales, libérales ou artisanales où vous effectuez un travail pour un client vous réalisez un service, comme designer, plombier ou encore coiffeur Parmi les différentes prestations de services, celles-ci peuvent être commerciales un plombier, artisanales un charpentier ou libérales un consultant informatique. Le CFE Centre des Formalités des Entreprises n’est pas le même selon la nature de l’activité les artisans autoentrepreneurs sont reliés à la Chambre des Métiers et de l’Artisanat, les commerçants autoentrepreneurs à la Chambre de Commerce et de l’Industrie et les autoentrepreneurs qui effectuent des prestations de service libérales sont rattachés à l’URSSAF. Les prestations de services commerciales Les prestations de services en autoentreprise peuvent être de nature commerciale. Quels sont les métiers qui sont concernés par cette catégorie ? Voici une liste d’exemples de métiers qui réalisent des prestations de service commerciales restaurateur ou hôtelier agent immobilier ou agent de voyage autoentrepreneur dans le spectacle location de matériel ou de transport livreur, etc. Les prestations de services commerciales sont classées parmi les BIC, les Bénéfices Industriels et Commerciaux, tout comme les activités d’achat/vente. En revanche, en tant que prestataire de service commercial, le plafond de chiffre d’affaires est de 72 600 € contre 176 200 € pour un acheteur/vendeur. L’autoentrepreneur ne doit pas dépasser ce plafond 2 années consécutives pour pouvoir continuer à bénéficier du régime de la microentreprise. De manière générale, ce qui définit une prestation de service commerciale est son aspect "générique", c’est à dire que le service rendu n’est pas directement commandé sur mesure par un client. Le restaurateur qui sert un plat servira ce même plat à tous ces clients. Les prestations de service libérales Les autres activités de prestations de services sont dites libérales. Il existe une différence entre les activités libérales réglementées et non réglementées. Les prestations de services libérales concernent les autoentrepreneurs qui exercent une science, un art, une prestation immatérielle ou un service sur-mesure. Sont concernés, par exemple les consultants les conseillers financiers les formateurs les professions intellectuelles les métiers du web développeur, designer, rédacteur, traducteur…. Les prestations de services libérales sont rangées parmi les BNC, les Bénéfices Non Commerciaux. Le plafond de chiffre d’affaires à ne pas dépasser deux années de suite est aussi de 72 600 €. Ce qui définit une prestation de service libérale est son aspect “sur mesure” et la forte plus value intellectuelle délivrée par le prestataire. Nature de l’activité Imposition Plafond de CA CFE Prestation de service commerciale BIC 72 600 € Chambre du Commerce et de l’Industrie ou Chambre des Métiers et de l’Artisanat Prestation de service libérale BNC 72 600 € URSSAF Pour savoir ce qu’on doit choisir entre prestation de service commerciale ou libérale en autoentreprise, le meilleur moyen est de chercher dans quelle catégorie se situe le métier que vous exercez. Lors de la création de votre autoentreprise, les démarches sont simplifiées et vous guident vers le régime fiscal BIC ou BNC adapté à votre situation. Pour savoir où se situer, il convient de comprendre les différences entre les BIC et les BNC. Les charges sociales ne sont pas vraiment différentes entre ces deux catégories de prestations de services, mais la fiscalité change. La grande différence réside dans le montant d’impôt que vous allez payer l’abattement forfaitaire est plus important pour les BIC. En tant qu’autoentrepreneur exerçant une activité de prestation de service commerciale ou libérale, le plafond de chiffre d’affaires est de 72 600 €, à ne pas dépasser deux années consécutives. Le seuil de franchise en base de TVA est de 36 500 €, pour les deux types de prestations de services. Quelles sont donc les différences entre une prestation de service commerciale BIC et une prestation de service libérale BNC ? La principale différence concerne l’abattement forfaitaire pour le calcul de l’impôt sur le revenu Abattement de 50 % pour les prestations de services commerciales BIC Abattement de 34 % pour les prestations de services libérales BNC Concernant les cotisations sociales mensuelles ou trimestrielles, le taux est le même selon les deux catégories 22 % du CA. Que vous exerciez une activité libérale ou commerciale en autoentreprise, vous pouvez choisir l’imposition classique ou le versement libératoire de l’impôt sur le revenu lors de la création de votre microentreprise. Dans ce cas le taux est de 1,7 % pour les prestations de services commerciales BIC 2,2 % pour les prestations de services libérales BNC FAQ 🧰 Qu’est-ce qu’une prestation de service ? Une prestation de service peut être commerciale ou libérale en autoentreprise. C’est une activité professionnelle qui engage un prestataire l’autoentrepreneur qui effectue un service et un client qui le reçoit. Les prestations de services commerciales sont imposées dans la catégorie des BIC et les prestations de service libérales sont imposées dans les BNC. Comme tout autoentrepreneur, vous devez déclarer votre chiffre d’affaires tous les mois ou tous les trimestres. Une fois votre déclaration effectuée, vous devez vous acquitter de vos cotisations sociales 22 % de votre CA en prestation de service. Vous devez également faire votre déclaration d’imposition tous les ans. Les prestations de services commerciales BIC ont un abattement forfaitaire de 50 % sur leur CA et les prestations de services libérales BNC ont un abattement de 34 %. 👔 Quelle est la différence entre prestation de service commerciale et prestation de service libérale ? La différence entre les deux sortes de prestations de services est liée à la nature de votre activité. Selon l’activité exercée, vous êtes soit concerné par les prestations de services commerciales restaurateur, hôtelier, agent immobilier, entrepreneur du spectacle, etc., soit par les prestations de services libérales conseiller financier, consulting, formateur, métiers du web, etc..