9FR : En architecture, l’influence directe de la bande dessinée, se révèle dans les années 1960 avec le groupe et la publication éponyme Archigram.En revanche, si l’on pense à l’univers fictionnel des villes imaginaires, on pourrait dire qu’il commence au xxe siècle avec les visions de Virgilio Marchi ou celles du jeune architecte issu du mouvement futuriste, Antonio Sant’Elia.

septembre 18 Posted by on 18 septembre 2010 in Expos à la cité de l'architecture et du patrimoine se tient jusqu'au 28 novembre une expo magnifique sur le lien entre architecture et bande dessinée, entre le 1er et le 9ème art, dans leur représentation de la ville depuis le début du 20ème siècle. l'intention de l'exposition n'est pas de comparer les deux disciplines point par point, mais de montrer à quel point elles peuvent dialoguer, elles peuvent s'enrichir mutuellement. pour les auteurs-architectes comme… … joost swarte créateur du musée hergé à louvain-la-neuve ou les architectes-dessinateurs, de druillet à schuiten, la ville, phantasmée, futuriste ou utopique, a toujours occupé une place de choix dans la bande dessinée ou le roman graphique. l'expo propose une rétrospective par période les débuts avec l'américain winsor mccay et son personnage little nemo 1907, l'esprit moderne avec l'exposition universelle de 1958 et l'apparition de la ligne claire, les itinérances de la bande dessinée, et enfin les regards croisés ou l'interaction de maîtres des deux disciplines. à voir absolument la mini-expo des dessins de florent chavouer, qui dessiné sa vie quotidienne à tokyo. savoureux, drôle, magnifique. le musée, qui occupe ce qui fut jadis le musée de l'homme, propose par ailleurs en collection permanente un impressionnant passage en revue du patrimoine architectural français dans des espaces gigantesques, on peut voir à ne pas en croire ses yeux des reproductions grandeur nature d'entrées de cathédrales et du statuaire religieux, des maquettes d'oeuvres marquantes, deux étages d'un appartement conçu par le corbusier pour la cité radieuse à marseille, des chapelles entières avec leur peintures murales… tout simplement incroyable. à découvrir absolument! du 9 juin au 28 novembre 2010 – palais de chaillot, 1, place du trocadéro, 75016 paris, ouvert tous les jours de 11h à 19h sauf le mardi. entrée €8. pour en savoir plus, rendez-vous ici.

Telleétait la gageure à laquelle s'est attelé Jean-Marc Thévenet à la demande de François de Mazières, président du lieu. Le résultat est une réussite, puisque fan de BD ou néophyte,

Reportage photo à la Cité de l'Architecture de Chaillot pour l'exposition "Archi et BD, une ville dessinée" jusqu'au 28 novembre à Paris- Réalisé par Emmanuel Khérad Villes futuristes, villes oniriques, poétiques ou fantastiques, métropoles américaines ou asiatiques, cités du rêve ou villes fantômes, simples décors urbains ou quasi personnages à part entière la Ville dans tous ses états constitue, depuis les origines du genre, l’un des motifs fétiches de la bande dessinée, une source d’inspiration inépuisable qui envahit les cases, investit les planches et nourrit les scénarios de maints albums. De la ligne claire aux mangas japonais, en passant par les comics de superhéros, la Ville dessinée » offre autant d’utopies architecturales de papier. invitésClaude LelouchSynopsis Le destin flamboyant d'une femme, Ilva, qui, sa vie durant, a placé ses amours au dessus de tout et se les remémore au rythme d'un orchestre symphonique. Dans cette fresque romanesque, Ilva incarne tous les courages et les contradictions d'une femme libre. Et si ce n'était pas Dieu qui avait créé la femme mais chaque homme qu'elle a aimé ? Claude Lelouch Abandonnant ses études, Claude Lelouch part effectuer des reportages dans le monde entier Quand le rideau se lève, filmé illégalement en URSS en 1957. Après avoir tourné plusieurs courts-métrages dans le cadre du Service Cinématographique des Armées, il fonde en 1960 sa propre maison de production, Les Films 13, et réalise son premier long métrage de fiction, Le Propre de l'homme, cuisant échec financier et critique. Si ses essais suivants ne sont guère remarqués La Femme spectacle est même censuré en 1964, il obtient un succès d'estime avec Une fille et des fusils, in programmation musicaleArnaud Fleurent-DidierReproductions label LIVE SMODCa Chante label LIVE Ben L'oncle SoulSoulman label LIVE liens

Laville a inspiré et inspire encore les auteurs de bandes dessinées. L'exposition Archi & BD, au Palais de Chaillot à Paris, propose du 9 juin au 28 novembre un parcours dans les villes vues

c CAPA / Gaston BergeretPrésentée du 9 juin 2010 au 2 janvier 2011, l'exposition Archi & BD - La ville dessinée s'adressait au grand public et aux passionnés en abordant les relations qu'entretiennent la bande dessinée et l' total 150 auteurs internationaux et 350 œuvres exposés. L'exposition abordait , sans volonté d'exhaustivité, les représentations de la ville dans la bande dessinée et proposait un éclairage sur la période actuelle où la bande dessinée franchit de nouvelles frontières en matière de création, avec des auteurs proches de l'art contemporain comme Jochen Gerner, Ilan Manouach, Dominique Goblet, Thierry Van Hasselt, Christopher Hittinger.

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Peuton faire de la bande dessinée comme on rêve d’architecture ?Les liens qui unissent le neuvième art et le premier sont ténus depuis plus d’un siècle. Lukasz Wojciechowski, architecte polonais de formation, a voulu explorer dans Ville nouvelle ce pont graphique qui fait qu’un plan d’archi sommeille toujours derrière une planche et qu’en traçant les contours d’une ville on
Le festival Lyon BD Festival fait résonner la bande dessinée au cœur de la ville, portée par les expressions plurielles d'un genre inépuisable. La bande dessinée en vrai, toujours plus vivante avec sa force de création et de mise en scène. Lecteur passionné, curieux en quête de découvertes, apprenti conteur ou collectionneur attentif ? Lyon BD part à la rencontre de chacun et rassemble toujours ! Depuis 2006, le festival ne cesse de se développer et d’accueillir autrices et auteurs au sein de la métropole de Lyon. Né d’abord dans le quartier de la Croix-Rousse, le festival investit rapidement le Palais de la Bourse, puis toute la presqu’île en réunissant plus de 200 auteurs dans les plus grandes institutions culturelles de la ville. Depuis quelques années maintenant, Lyon BD traverse les frontières et s’exporte aux quatre coins du monde pour développer des projets ambitieux, des créations originales, et porter un regard international sur la bande dessinée. Fondé avec la volonté de donner à la ville une grande fête de la bande dessinée, Lyon BD Festival fait aujourd’hui partie des rendez-vous incontournables du 9e art en rassemblant au mois de juin de chaque année près de 300 artistes et 80 000 visiteurs. » En savoir plus sur les valeurs du festival
LaCité de l’Architecture et du Patrimoine nous offre un dialogue entre l’architecture et la bande dessinée à travers maquettes, esquisses, projets ou réalisations de villes,
Sortir / Critique - écrit par hiddenplace, le 07/11/2010 Sans avoir la prétention d'être exhaustive dans le traitement du sujet et dans sa galerie d'exemples, l'exposition Archi et BD la ville dessinée reste cependant un parcours très complet, permettant d'opérer des parallèles et focalisations très pertinentes sur plus d'un siècle de bande dessinée. Voilà une problématique qui nécessitait depuis bien longtemps qu'on s'y penche, et qui méritait assurément des croisements de regards, des mises en lumière... tout simplement une exposition. Depuis le 9 juin et ce jusqu'au 28 novembre 2010, la cité de l'Architecture et du Patrimoine au Palais de Chaillot Paris interroge une thématique qui inspire et nourrit l'univers du neuvième art depuis plus d'un siècle la ville. Plus qu'un simple décor, plus qu'un exercice technique et/ou virtuose de perspective répondant à des normes fonctionnelles comme c'est le cas en architecture, le concept de la ville dessinée en BD est synonyme de modernité, d'utopie, de mixité sociale, de voyage, d'onirisme. Comme en témoigne l'affiche emblématique illustrée par Nicolas De Crécy, il y est question à la fois d'imaginaire mêlée de rigueur graphique, ou encore de l'homme qui fusionne avec un décor qui le dépasse, le dévore ou parfois l'isole ou le marginalise. La rétrospective interroge également l'urbanisme comme nouveau mode narratif, voire comme élément significatif, ou personnage à part entière d'une histoire. Little Nemo in Slumberland Winsor McCay, 1907En choisissant de centrer son regard sur les trois grandes métropoles qui ont inspiré les auteurs de BD d'hier et d'aujourd'hui New York, Paris et Tokyo, et en le recoupant avec des visions d'architectes proches du média dans l'esprit et dans la forme, l'exposition retrace la représentation de la ville dans son évolution et sa diversité au sein de la bande dessinée. Via un périple globalement balisé par les zones géographiques et symboliques que délimitent ces grandes agglomérations, l'exposition alterne successivement les planches originales issues des albums les plus marquants sur le sujet, des croquis préparatoires ou de véritables plans d'architectes, des toiles et affiches ayant des accointances avec le neuvième art, des vidéos et diaporamas, des carnets de voyage et quelques maquettes. L'ordre de présentation des pièces exposées suit davantage un découpage thématique que chronologique, et même au sein de l'organisation par ville, des rapprochements et aller-retours entre plusieurs auteurs ou ouvrages traitant les mêmes problématiques sont mis en avant, parfois indifféremment de la ville représentée. On se réjouit de ce choix de cheminement, pertinent et plus propice aux découvertes par affinité. La possibilité d'étudier et d'admirer de très près les planches d'albums, découvertes souvent en bien plus petit format lorsqu'elles sont éditées, est un régal instructif et inspirateur. Le spectateur a maintes fois le sentiment d'être face à un travail d'orfèvre aussi technique et laborieux parfois que les planches d'architecte, dont certaines sont présentées à leurs côtés mêlé d'une très riche recherche d'imagination. Même présentées hors contexte, ces séquences judicieusement choisies offrent de véritables clefs de compréhension narrative, et le fait d'axer notre attention sur la notion de ville nous fait rapidement prendre conscience du rôle que celle-ci joue dans chaque planche, chaque philactère. Silent Blanket Gabriella Giandelli, 1994En amorce de la rétrospective un premier regard sur le précurseur du genre, Winsor McCay, qui place dès le début du XXème siècle son personnage Little Nemo au coeur d'une ville en plein essor, faisant le parallèle avec la croissance fulgurante de New York qui fascine l'auteur. Il sera ultérieurement la source d'inspiration de nombres de créateurs de BD, comme François Schuitten Les cités obscures ou Marc-Antoine Mathieu Mémoire morte. New York, et plus clairement ses doubles fantasmés et visionnaires, deviennent des modèles d'utopie, et servent également de siège aux comics dont le succès atteint son apogée dans les années 30 notamment Gotham city pour Batman, ou Metroplis pour Superman. On s'attaque ensuite à Paris, la ville Historique, observatoire rempli à la fois de mouvement et d'immobilité, et déjà source d'inspiration de nombreux photographes ou cinéastes. On s'aperçoit à travers les visions choisies que c'est la ville de la narration intimiste, du témoignage Cailleaux et son Piscine Molitor ; Gibrat et Le vol du corbeau ou que le plaisir de sa représentation prend même parfois le pas sur l'intérêt que suscite la trame narrative dixit Tardi, auteur d'Adèle Blanc-Sec. La bande dessinée, longtemps considérée comme un art populaire, devient également vecteur d'idéologies et d'analyse sociale, et interroge l'agglomération comme symptôme de la diversité et de la mixité, à travers sa partie encore décriée et si mal définie en regard de ses grandes sœurs mégapoles la banlieue. L'exposition nous rappelle les univers extra-muros » qui ont permis à tout un chacun de s'identifier à ses occupants ceux de Moebius, Margerin ou de Jano dont la truculente planche Le HLM infernal » est présentée agrandie sur un pan de mur entier afin d'en apprécier tous les détails. Puis, lieu d'errance et d'expatriation, la ville n'est plus simplement une fin et devient progressivement un moyen. Moyen de voyager, de découvrir, de partager. La carnet de voyage est ici présenté comme une extension narrative, et propose un renouveau et un véritable dépaysement pour le lecteur à moindre frais. Il instaure également la notion de subjectivité de ce voyage, l'auteur du carnet offrant avec humilité une vision totalement personnelle et souvent intimiste de ces nouveaux horizons, comme c'est le cas de Florent Chavouet Tokyo Sanpo ou Jirô Taniguchi Le promeneur. Enfin, les analogies évidentes entre l'architecture de façade et le procédé narratif baptisé gaufrier » donne lieu à de nombreuses expérimentations et agencements qui s'y prêtent à loisir, comme l'ont fait Chris Ware ou Marc-Antoine Mathieu. Sans avoir la prétention d'être exhaustive dans le traitement du sujet et dans sa galerie d'exemples, l'exposition Archi et BD la ville dessinée reste cependant un parcours très complet, permettant d'opérer des parallèles et focalisations très pertinentes sur plus d'un siècle de bande dessinée. Pour ce périple passionant, la ville est suggérée de manière quasi-abstraite par son dispositif de présentation, composé de panneaux lumineux figurant les façades et néons irradiant par intermittence une rue longiligne notre parcours de visiteur. On regrettera juste qu'en dehors de son côté épuré mettant pourtant bien en valeur les œuvres exposées, la scénographie demeure sage et linéaire, la cohérence visuelle avec son contenu restant trop peu évidente, et manque un peu d'audace pour en faire une rétrospective parfaite à tout point de vue. Mais on retiendra en revanche qu'elle s'adresse aussi bien aux réels amateurs et lecteurs du neuvième art, friands de découvrir en chair et en os des fragments authentiques de leurs albums fétiches, qu'aux néophytes curieux de découvrir le domaine sous une thématique à la fois pointue, identificatrice et universelle.
ARCHI& BD : La Ville Dessinée. 20 août 2010 | Bureaux. Mots-clés de l'article : architecture, exposition, ville. La Cité de l’architecture et du patrimoine a réussi le pari de nous raconter l’histoire de la ville au XXe siècle à partir de Ils ont travaillé sur la Série Permacité ! La Ville de mes Rêves Prix public 16,90 € Paru le 03 Mars 2021 Album-Livre Illustré de la Série Permacité ! La Ville de mes Rêves Auteure Olivier Dain-Belmont Illustration Fachri Maulana Editeur SARBACANE Genre Documentaire-Encyclopédie Public 7/9 ans EAN 9782377316045 Album-Livre Illustré en couleur, Couverture Cartonnée En mm largeur 237, hauteur 329, épaisseur 11 48 pages Ce qu'en dit l'éditeur ..... Un documentaire ultra-vivant sur une extraordinaire utopie qui donne le grand jour Camille et sa famille déménagent dans une permacité », un quartier économe et écologique ! Mais Camille boude et en plus, voilà que Imhotep, son chat, s’échappe ! En le poursuivant à travers cette drôle de ville où les maisons sont construites les unes sur les autres, et dans laquelle la nature est reine, Camille découvre cette ville du futur, qui lui réserve bien des extraordinaire utopie à dévorer comme une aventure, qui réunit des idées déjà mises en œuvre un peu partout dans le monde. De quoi donner à tous un vrai une mise en images dynamique, mêlant dessin d’archi et illustration jeunesse, à l’énergie inspirante ! yt34ncu. 168 309 77 493 272 274 213 419 44

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