Toutesles Ă©tudes ont rapportĂ© une Ă©valuation basĂ©e sur la PCR de lâexcrĂ©tion virale et 12 Ă©tudes ont rapportĂ© des donnĂ©es sur la culture virale. En ce qui concerne lâexcrĂ©tion virale, les donnĂ©es ont rĂ©vĂ©lĂ© que la durĂ©e variait dâun minimum de 1 jour Ă 83 jours, bien que la durĂ©e mĂ©diane combinĂ©e de lâexcrĂ©tion dâARN des Ă©chantillons respiratoires sur la base de
Le cytomĂ©galovirus humain CMV est le plus grand et le plus complexe, du point de vue structural, des herpĂšs-virus. Il est caractĂ©risĂ©, entre autres, par la longueur de son cycle de multiplication et la mulÂtiplicitĂ© des sites de possĂšde la mĂȘme morphologie et les mĂȘmes caractĂ©ristiques globales que les autres HerpĂšs virus, en particulier la mĂȘme capacitĂ© Ă induire une primo-infection et des rĂ©currences peuvent faire suite Ă la rĂ©activation dâune infection ancienne ou Ă une rĂ©infection par une souche virale de surinfection. Le systĂšme immunitaire de lâhĂŽte est supposĂ© protecteur, car les manifestations cliniques sont rares chez lâhĂŽte trouve de nombreuses esÂpĂšces de cytomĂ©galovirus dans le rĂšgne animal, qui toutes sont trĂšs spĂ©cifiques de lâespĂšce quâelles contaminent ; il exisÂte un seul cytomĂ©galovirus huÂmain, mais avec de multiples EpidĂ©miologie Le CMV circule dans la population et il nây a pas dâargument pour une dĂ©pendance Ă©pidĂ©mique ou la plupart des pays en voie de dĂ©veloppement, le CMV est acquis tĂŽt dans lâenfance, vraisemblablement au cours de lâallaitement maternel ou secondairement au cours de la vie en communautĂ©. Le taux de sĂ©ropositivitĂ© atteint presque 100 % dans ces populations avant lâĂąge de fĂ©conditĂ©. A lâopposĂ©, la sĂ©roprĂ©valence aux Etats-Unis est dĂ©pendante de lâĂąge et du statut socio-Ă©conomique. A lâĂąge de fĂ©conditĂ©, la sĂ©roprĂ©valence excĂšde souvent 90 % chez les individus de basse condition socio-Ă©conomique. Chez les individus de haut niveau socio-Ă©conomique, environ 50 % des jeunes adultes sont Modes de transmission Le rĂ©servoir est strictement huÂmain et la contamination se fait par contact direct â voie respiratoire, par les gouttelettes de sĂ©crĂ©Âtions salivaires et respiratoires ; câest la principale voie de contamination chez lâenfant, en partiÂculier dans les crĂšches et les collectivitĂ©s ;â transmission sexuelle ;â transfusion sanguiÂne ou greffe dâorgane ;â les urines des patients excrĂšÂtent le virus au cours de la priÂmo-infection, pendant 6 Ă 8 mois ;â transmission materno-ÂfĆtale est une voie importante de transmission. La transmission materno-fĆtale est possible, quel que soit lâĂąge de la grossesse. Lâinfection virale est tĂ©ratogĂšne, en cas de primo-infection chez la femme enceinte ; elle peut provoquer un syndrome malformatif multiorganique et un retard Anatomopathologie Bien que le CMV puisse ĂȘtre rĂ©guliĂšrement cultivĂ© in vitro sur cellules de fibroblastes humains, il peut ĂȘtre isolĂ© dâune quantitĂ© innombrable dâorganes et de types de cellules provenant de patients infectĂ©s. Le CMV a Ă©tĂ© retrouvĂ© dans lâendothĂ©lium vasculaire, lâĂ©pithĂ©lium de presque tous les organes incluant les organes endocrines et exocrines et les cellules neuronales du systĂšme nerveux central SNC.Les anomalies anatomopathologiques retrouvĂ©es vont de la destruction tissulaire massive aux cellules cytomĂ©galiques isolĂ©es. La cellule cytomĂ©galique typique consiste en une cellule augmentĂ©e de volume, avec un cytoplasme peu abondant Ă rĂ©duit, contenant un noyau de grande taille avec des nuclĂ©oles importants et des inclusions Aspects cliniques Les manifestations cliniques dĂ©Âpendent de lâĂ©tat immunitaire du sujet.â sâil est immunocompĂ©tent la primo-infection est souvent totalement asymptomatique 90 % des cas, sinon elle se traduit par des symptĂŽmes non spĂ©cifiques Ă©voquant un syndrome pseudo-grippal ou un syndrome mononuclĂ©osique avec fiĂšvre ou fĂ©bricule, asthĂ©nie ++, arthralgies, myalgie, lymphadĂ©nopathies, pharyngite, voire plus rarement une hĂ©patite cytolytique avec ictĂšre ou une pneumopathie interstitielle.â sâil est immunodĂ©primĂ©, quâil sâagisse dâimmunodĂ©Âpression induite receveurs de greffes dâorganes ou de moelle, acquise hĂ©mopathies malignes, sida lâinfection peut trĂšs sĂ©vĂšre atteintes pulmonaires, encĂ©phalites, polyradiculonĂ©vrites, rĂ©tinites, colites, pancytopĂ©Ânies, hĂ©patites parfois mor pneumopathie interstiÂtielle Ă CMV a longÂtemps Ă©tĂ© une importante cause de mortalitĂ© aprĂšs transplantaÂtion. Lâinfection congĂ©nitale Ă CMV prĂ©sente Ă la naissance est frĂ©quente, reprĂ©sentant environ 1 % de toutes les naissances vivantes aux Etats-Unis. Quelque 10 % de ces enfants vont prĂ©senter des signes et des symptĂŽmes de la maladie Ă inclusions cytomĂ©galiques MIC, qui associe pĂ©tĂ©chies, hĂ©patosplĂ©nomĂ©galie, ictĂšre et microcĂ©phalie. Une thrombopĂ©nie, une cholestase et des signes dâatteinte hĂ©patocellulaire sont des anomalies biologiques compatibles. Alors que presque toutes les atteintes viscĂ©rales sont spontanĂ©ment rĂ©solutives, les lĂ©sions du SNC associĂ©es Ă lâinfection congĂ©nitale Ă CMV sont dĂ©finitives et entraĂźnent souvent un retard de dĂ©veloppement significatif, une Ă©pilepsie, des dĂ©ficits neurologiques graves et, plus frĂ©quemment, une congĂ©nitale asymptomatique provoque moins de sĂ©quelles neurologiques dĂ©finitives ; cependant, jusquâĂ 15 % des nouveau-nĂ©s avec une infection infraclinique peuvent prĂ©senter des lĂ©sions patentes du SNC, comme une perte dâaudition deux formes de lâinfection congĂ©nitale entraĂźnent une excrĂ©tion chronique de virus qui peut persister pendant des annĂ©es, reprĂ©sentant alors une source importante dâexposition au CMV pour lâentourage. Le CMV est devenu une cause majeure de morbiditĂ© et de mortalitĂ© chez les patients atteints du raison de lâimportance de la transmission sexuelle dans la propagation du CMV dans la population adulte, il nâest pas surprenant que le taux de sĂ©ropositivitĂ© approche 100 % dans les populations Ă haut risque pour lâinfection VIH. Les virus endogĂšnes et les expositions sexuelles frĂ©quentes aux souches virales de rĂ©infection sont donc des sources vraisemblables de CMV dans ces populations. Lâimportance de la coinfection par le CMV dans la progression du SIDA a Ă©tĂ© suggĂ©rĂ©e, et les rĂ©sultats in vitro corroborent le rĂŽle potentiel du CMV sur la rĂ©plication du VIH. Lâun des facteurs de risque du dĂ©veloppement dâune maladie Ă CMV invasive dans cette population est un taux de lymphocytes CD4+ infĂ©rieur Ă 50/mm3. De plus, on a notĂ© que le dĂ©veloppement dâune maladie Ă CMV avait une valeur pronostique sĂ©vĂšre, la survie Ă©tant significativement plus courte chez les patients avec une maladie Ă CMV infections invasives chez les patients atteints de SIDA se manifestent par une maladie polyviscĂ©rale atteignant presque tous les organes, dont trois sont plus frĂ©quemment atteints le SNC, le tractus gastro-intestinal GI et le tractus pulmonaire. Lâinfection Ă CMV du SNC, nâest pas exceptionnelle chez les patients infectĂ©s par le VIH. Des encĂ©phalopathies, diffuses et localisĂ©es, ainsi que des myĂ©lites et des neuropathies ont Ă©tĂ© attribuĂ©es au la plus frĂ©quente et la plus importante associĂ©e au CMV dans cette population est la rĂ©tinite. On estime entre 8 et 25 % le nombre de patients vivant avec un SIDA prolongĂ© qui dĂ©velopperont cette infection. Les atteintes gastro-intestinales comprennent des colites et des Ćsophagites et moins frĂ©quemment des gastrites. La mise en Ă©vidence clinique et biologique dâune colite Ă CMV est souvent associĂ©e Ă dâautres pathogĂšnes gastro-intestinales, qui posent par consĂ©quent la question de lâimportance du CMV comme pathogĂšne principal. Par ailleurs, la signification du rĂŽle du CMV comme agent Ă©tiologique frĂ©quent de pneumopathie chez les patients atteints de SIDA a Ă©tĂ© Diagnostic 1 Signes dâorientation â NFS syndrome mononuclĂ©osique environ 15 jours aprĂšs le dĂ©but de la fiĂšvre, lymphocytose atypique, et moins frĂ©quemment, une thrombopĂ©nie,â une hĂ©patite biologique augmentation des transaminases, surtout ALAT, une Diagnostic virologique Le diagnostic de lâinfection Ă CMV repose conventionnellement sur lâisolement du virus Ă partir des urines, de la salive, du sang ou dâĂ©chantillons de biopsie de patients prĂ©sentant des symptĂŽmes compatibles avec une infection Ă Diagnostic direct Les Ă©chantillons Ă prĂ©lever sont fonctions des signes cliniques sang, urine, biopsies, LCR, Liquide amniotique, sĂ©crĂ©tions bronchiquesâŠ.Acheminement rapide au laboratoire ; si besoin, utiliser un milieu de transport.â Isolement viral en culture cellulaire le CMV est un virus facile Ă isoler en culture est inoculĂ© sur des cellules fibroblastiques embryonnaires humaines.â Techniques de biologie molĂ©culaire PCR recherche du gĂ©nome techniques sont trĂšs sensibles et spĂ©cifiques, elles permettent dâobtenir un rĂ©sultat peut prĂ©lever sang, biopsies, sĂ©crĂ©tions bronchiques, rhinopharynx, LCR, urines, liquide amniotique, humeur aqueuse, prĂ©lĂšvement gĂ©nital fĂ©minin, liquide de ponction, crachat, sperme, salive⊠Les biopsies doivent ĂȘtre dĂ©posĂ©es telles quelles dans un tube sec ; proscrire tout fixateur diagnostic nĂ©onatal repose sur la PCR dans les urines ou la salive chez le nouveau-nĂ©, dans les 3 semaines suivant la Diagnostic indirect â SĂ©rologie CMV Il existe des trousses commerciales ELISA dĂ©tectant les IgG ou les diagnostic de la primo-infection maternelle repose sur la IgM sont un bon marqueur dâinfection rĂ©cente mais elles peuvent rĂ©augmenter en cas de la femme enceinte, la mesure de lâaviditĂ© des IgG CMV est recommandĂ©e en cas de positivitĂ© des IgM pour aider Ă dater la IgM persistent 16 Ă 20 semaines aprĂšs une IgG sâĂ©lĂšvent aprĂšs une primo-infection et de nouveaux pics peuvent apparaĂźtre lors dâune rĂ©activationLâinterprĂ©tation des sĂ©rologies CMV est trĂšs difficile il existe des rĂ©actions croisĂ©es lors dâautres infections herpĂ©tiques, il est difficile de diffĂ©rencier une primo-infection dâune rĂ©activationâŠâ Examen histologique PrĂ©sence de cellules Ă grosses inclusions intranuclĂ©aires maladie des inclusions cytomĂ©galiques.6. Traitement Uniquement chez les patients immunodĂ©primĂ©s et aprĂšs greffe dâorganes â Ganciclovir sodique CYMEVAN 500 mg pdre p sol pour perf ModĂšle hospitalier ;â Foscarnet sodique FOSCAVIR 6 g/250 ml sol p perf ModĂšle hospitalier ;â Valaciclovir chlorhydrate VALACICLOVIR SANDOZ â ZELITREX⊠500 mg cp Deux mĂ©dicaments, le ganciclovir et le foscarnet, ont Ă©tĂ© montrĂ©s comme Ă©tant virustatiques in vitro et in essais cliniques ont documentĂ© lâefficacitĂ© de ces agents dans le traitement de la maladie Ă CMV invasive chez les patients transplantĂ©s ou atteints de les deux possĂšdent une toxicitĂ© non nĂ©gligeable, qui empĂȘche souvent leur administration au long ganciclovir a une toxicitĂ© hĂ©matologique qui peut limiter les doses utilisĂ©es, souvent responsable dâune neutropĂ©nie avec retentissement foscarnet a une nĂ©phrotoxicitĂ© significative, qui limite son utilisation chez les patients avec une plus, le traitement au long cours chez les patients immunodĂ©primĂ©s a entraĂźnĂ© le dĂ©veloppement de rĂ©sistances virales aux deux agents. Ă la SFM en lien avec le Centre National de RĂ©fĂ©rence (CNR) des Virus respiratoires âĂ©mettre un avis d concernant lâinterprĂ©tation de la valeur de Ct (cycle threshold, estimation de la charge virale) obtenue en cas de RT-PCR SARS-CoV-2 positive sur les prĂ©lĂšvements cliniques respiratoires rĂ©alisĂ©s Ă des fins diagnostiques ou de dĂ©pistage. 2. Contexte Dans le cadre de lDans un laboratoire de diagnostic entre 2016 et 2018, 46,7% des cas positifs de rotavirus chez les nourrissons Ă©taient le rĂ©sultat dâune excrĂ©tion virale liĂ©e au vaccin, selon une Ă©tude publiĂ©e dans Clinical Infectious Diseases. Les enquĂȘteurs ont soulignĂ© lâimportance de distinguer le virus vaccinal du type sauvage dans les tests diagnostiques de routine des nourrissons. LâavĂšnement et la mise en Ćuvre du vaccin contre le rotavirus ont eu un effet positif significatif sur la nĂ©cessitĂ© dâune attention mĂ©dicale Ă la suite de cette infection. Cependant, comme le vaccin contient une version attĂ©nuĂ©e vivante du virus, qui se rĂ©plique dans lâintestin et est donc excrĂ©tĂ© dans les selles, il peut exercer un effet de confusion sur le diagnostic de lâinfection Ă rotavirus chez les personnes qui ont reçu le vaccin. Un diagnostic prĂ©cis est crucial pour la gestion clinique et le suivi du rotavirus actif et de lâefficacitĂ© du vaccin. Cette Ă©tude de cohorte de Brisbane, Queensland, a recueilli des Ă©chantillons de selles hebdomadaires pour Ă©valuer la question de lâexcrĂ©tion du virus du vaccin contre le rotavirus chez les nourrissons dans le cadre du programme de vaccination Ă lâĂ©chelle de lâĂtat. Ă lâaide de tests spĂ©cifiques pour les souches de rotavirus 1 et 5 RV1 et RV5, respectivement, un total de 465 Ă©chantillons positifs au rotavirus par rĂ©action en chaĂźne de la polymĂ©rase PCR ont Ă©tĂ© retestĂ©s, dont 65 n=16, 24,6 % de nourrissons ĂągĂ©s de <1 an ont Ă©tĂ© recueillis pendant la pĂ©riode oĂč le Queensland a utilisĂ© le vaccin RV5 banque 1 et 400 n=136, de nourrissons ĂągĂ©s de <1 an de la pĂ©riode pendant laquelle le vaccin RV1 Ă©tait utilisĂ© banque 2. Parmi les Ă©chantillons de la banque 1 qui ont Ă©tĂ© testĂ©s positifs pour le rotavirus, 10,8% ont Ă©tĂ© testĂ©s positifs pour le RV5 ; tous provenaient de nourrissons ĂągĂ©s de <1 an. Parmi les Ă©chantillons de la banque 1 qui provenaient de nourrissons ĂągĂ©s de <1 an n=16, 43,8 % des dĂ©tections Ă©taient positives pour le RV5. Parmi les Ă©chantillons de la banque 2, 64 16,0 % Ă©taient positifs pour le RV1, et tous sauf 2 provenaient de nourrissons. En outre, 2 Ă©chantillons provenant de nourrissons dans le pool de la banque 2 Ă©taient positifs pour le RV5. Aucune diffĂ©rence significative nâa Ă©tĂ© observĂ©e dans la dĂ©tection du virus vaccinal chez les nourrissons entre les Ă©chantillons de la banque 1 et de la banque 2 risque relatif, 0,93 ; IC Ă 95 %, 0,52-1,67. Dans de nombreux cas, les symptĂŽmes qui ont motivĂ© le dĂ©pistage du rotavirus Ă©taient trĂšs probablement dus Ă dâautres agents pathogĂšnes prĂ©sents en mĂȘme temps que le virus vaccinal. De telles codĂ©tections ont Ă©tĂ© observĂ©es dans 12 des 65 18,5 % Ă©chantillons du banc 1 et dans 80 des 400 20,0 % Ă©chantillons du banc 2. Les agents pathogĂšnes codĂ©tectĂ©s les plus frĂ©quemment identifiĂ©s Ă©taient le norovirus, lâadĂ©novirus et la Salmonella non typhoĂŻde ; les enquĂȘteurs ont notĂ© que dans les cas de codĂ©tection, ces agents pathogĂšnes Ă©taient plus probablement la cause des symptĂŽmes diarrhĂ©iques. Les enquĂȘteurs ont conclu que » ces donnĂ©es soulignent la nĂ©cessitĂ© de disposer de mĂ©thodes de diagnostic et de dĂ©pistage du rotavirus permettant de distinguer le virus vaccinal du virus de type sauvage lors du dĂ©pistage des nourrissons rĂ©cemment vaccinĂ©s Ă lâaide de plateformes⊠dans les contextes oĂč les tests disponibles ne peuvent pas distinguer le virus vaccinal du virus de type sauvage, alors un commentaire appropriĂ© devrait accompagner le rĂ©sultat du test indiquant que la dĂ©tection de lâARN du rotavirus chez les nourrissons nâest pas nĂ©cessairement une indication dâinfection, mais peut ĂȘtre due Ă lâexcrĂ©tion du vaccin. » Divulgation Plusieurs auteurs de lâĂ©tude ont dĂ©clarĂ© des affiliations avec lâindustrie pharmaceutique. Veuillez consulter la rĂ©fĂ©rence originale pour obtenir la liste complĂšte des divulgations des auteurs. Divulgation plusieurs auteurs de lâĂ©tude ont dĂ©clarĂ© des affiliations avec lâindustrie pharmaceutique.
LesrĂ©sultats indiquent que, sur la base des pourcentages de patients ayant une charge virale ARN VIH-1 < 50 copies/ml, le groupe « association fixe » est associĂ© Ă une rĂ©ponse virologique similaire (non-infĂ©rioritĂ©) Ă celle observĂ©e avec le groupe « abacavir + lamivudine » (respectivement 90 % et 85 %, [-2,7 ; 13,5] IC 95 %). Quand SantĂ© publique France va-t-elle mettre Ă disposition un indicateur qui diffĂ©rencie une PCR positive forte dâune PCR positive faible ? Câest pas pour demain ! et donc les rĂ©sultats seulement qualitatifs des tests RT-PCR sont non significatifs et inexploitables en terme de diagnostic clinique, en clair ils ne servent Ă rien ou presque du moins pour tous les cas asymptomatiques. Avis du 25 septembre 2020 de la SociĂ©tĂ© Française de Microbiologie SFM relatif Ă lâinterprĂ©tation de la valeur de Ct estimation de la charge virale obtenue en cas de RT-PCR SARS-CoV-2 positive sur les prĂ©lĂšvements cliniques rĂ©alisĂ©s Ă des fins diagnostiques ou de dĂ©pistage Version 1 _ 25/09/2020 Date de la saisine 11 septembre 2020 Demandeur Direction GĂ©nĂ©rale de la SantĂ© DGS JĂ©rĂŽme SALOMON Bernadette WORMS ⊠1. Demande Par saisine de la DGS en date du 11 septembre 2020, le Directeur GĂ©nĂ©ral Pr JĂ©rĂŽme SALOMON et la conseillĂšre mĂ©dicale Dr Bernadette WORMS cellule de gestion de crise sanitaire de la DGS ont demandĂ© Ă la SFM en lien avec le Centre National de RĂ©fĂ©rence CNR des Virus respiratoires dâĂ©mettre un avis concernant lâinterprĂ©tation de la valeur de Ct cycle threshold, estimation de la charge virale obtenue en cas de RT-PCR SARS-CoV-2 positive sur les prĂ©lĂšvements cliniques respiratoires rĂ©alisĂ©s Ă des fins diagnostiques ou de dĂ©pistage. âŠâŠ 5. MĂ©thodologie et rĂ©ponses du groupe dâexpert ⊠En revanche, en raison de son caractĂšre seulement semi-quantitatif et des variations inter-techniques, le groupe dâexperts ne pense pas quâil soit recommandĂ© de faire figurer systĂ©matiquement cette valeur sur les comptes-rendus de rĂ©sultats. Le biologiste mĂ©dical reste Ă mĂȘme de dĂ©cider si cette valeur doit ĂȘtre diffusĂ©e aux prescripteurs en fonction des besoins et expertises. Le groupe dâexperts rappelle Ă©galement que pour certaines techniques de RT-PCR, le rendu est uniquement qualitatif ou exprimĂ© en valeurs numĂ©riques non corrĂ©lables aux valeurs de Ct usuelles tests non RT-PCR, tests multiplex ⊠⊠Le biologiste mĂ©dical peut donc, aprĂšs Ă©valuation locale ou Ă lâaide de lâabaque des valeurs de Ct obtenue comparativement Ă la technique du CNR IP4 cf. annexe, Ă©tablir la catĂ©gorie dâexcrĂ©tion virale. Il est recommandĂ© de suivre pour les trousses commerciales les rĂšgles dâinterprĂ©tation donnĂ©es par le fournisseur si elles sont disponibles. En plus de ces rĂšgles, et selon le nombre de cibles virales positives et la valeur du Ct de la cible la plus sensible, le biologiste peut rendre un rĂ©sultat qualitatif comme suit -Si toutes cibles dĂ©tectĂ©es 1/1, 2/2 ou 3/3 avec Ct de la cible la plus sensible †33,rendre Positif » -Si 2 cibles sur 3 avec Ct de la cible la plus sensible †33, rendre Positif » - Si 2 cibles sur 3 avec Ct de la cible la plus sensible > 33, rendre Positif faible » - Si toutes cibles dĂ©tectĂ©es 1/1, 2/2 ou 3/3 avec Ct > 33, rendre Positif faible » - Si uniquement 1 cible dĂ©tectĂ©e sur 1 avec Ct > 33, rendre Positif faible » - Si uniquement 1 cible dĂ©tectĂ©e sur 2 ou 3 avec Ct 33, la prĂ©sence dâARN viral dĂ©tectĂ© est compatible avec une excrĂ©tion virale modĂ©rĂ©e voire trĂšs faible ⊠Ainsi, la valeur de Ct de la cible la plus sensible de la technique utilisĂ©e comparĂ©e Ă la technique de rĂ©fĂ©rence IP4 peut ĂȘtre interprĂ©tĂ©e concernant lâimportance de lâexcrĂ©tion virale comme suit cf. algorithme infralesprĂ©lĂšvements naso pharyngĂ©s est liĂ©e- Ă la persistance dâune excrĂ©tion virale faible, ce que confirment les valeurs de charge virale, le plus souvent trĂšs basses, quand elles sont
Clairance de la crĂ©atinine dosage sanguin Clairance de la crĂ©atinine analyse de sangDĂ©finition et valeur normaleClairance de la crĂ©atinine basseClairance de la crĂ©atinine Ă©levĂ©eQue faire ?La clairance de la crĂ©atinine, c'est quoi ?La crĂ©atinine est un dĂ©chet mĂ©tabolique provenant de la dĂ©gradation de la crĂ©atine, un acide aminĂ© non essentiel synthĂ©tisĂ© principalement par les reins. Dans le langage mĂ©dical, on parle de clairance de la crĂ©atinine pour qualifier le rapport entre le dĂ©bit d'Ă©limination urinaire de la crĂ©atinine et sa concentration dans le sang crĂ©atininĂ©mie. Cet examen est gĂ©nĂ©ralement prĂ©conisĂ© Ă la suite d'un bilan sanguin faisant Ă©tat d'une crĂ©atininĂ©mie Ă©levĂ©e, ou dans le cadre d'une insuffisance rĂ©nale avĂ©rĂ©e, car il permet d'Ă©valuer la capacitĂ© de filtration rĂ©nale du est la valeur normale de la clairance de la crĂ©atinine ?La mesure de la clairance de la crĂ©atinine suppose la rĂ©alisation de deux examens distincts. Dans un premier temps, la crĂ©atininĂ©mie sanguine est rĂ©alisĂ©e par l'analyse d'un Ă©chantillon sanguin prĂ©levĂ© dans un laboratoire d'analyses biologiques. La crĂ©atininurie crĂ©atinine urinaire, elle, nĂ©cessite le recueil des urines pendant 24 heures. Chez l'adulte, les rĂ©sultats sont considĂ©rĂ©s comme normaux sâils respectent les valeurs indicatives suivantes crĂ©atininĂ©mie comprise entre 7 et 13 mg/l chez lâhomme, et entre 6 et 11 mg/l chez la femme ;crĂ©atininurie comprise entre 1200 et 2000 mg/24 h chez lâhomme, et entre 900 et 1800 mg/24 h chez la il est important de prĂ©ciser que ces diffĂ©rents taux sont influencĂ©s par divers paramĂštres tels que l'Ăąge, le sexe ou encore la masse signifie une clairance de la crĂ©atinine trop basse ?Il est possible qu'une clairance de la crĂ©atinine basse soit observĂ©e Ă la suite de la prise de certaines substances mĂ©dicamenteuses anti-inflammatoires, antiĂ©pileptiques... En outre, la clairance de la crĂ©atinine tend Ă©galement Ă diminuer chez les personnes ĂągĂ©es puisque la filtration rĂ©nale baisse naturellement avec l'Ăąge. Mais un effondrement de la clairance de la crĂ©atinine rĂ©vĂšle gĂ©nĂ©ralement une insuffisance rĂ©nale dont le degrĂ© de sĂ©vĂ©ritĂ© sera Ă©valuĂ© en fonction des rĂ©sultats. Plus les valeurs obtenues sont infĂ©rieures aux normes indicatives, plus la capacitĂ© de filtration des reins est signifie une clairance de la crĂ©atinine Ă©levĂ©e ?L'augmentation de la clairance de la crĂ©atinine survient parfois au cours de la grossesse. Elle se manifeste parallĂšlement par une baisse significative de la crĂ©atininĂ©mie. On retrouve ce type de manifestation biologique aprĂšs un exercice physique intense. Sur le plan pathologique, certaines lĂ©sions hĂ©patiques et dystrophies musculaires peuvent entraĂźner ce type de fluctuations de la clairance de la faire si la clairance de la crĂ©atinine est trop Ă©levĂ©e ?Si la clairance de la crĂ©atinine tend Ă augmenter naturellement chez la femme enceinte, elle fera nĂ©anmoins l'objet d'un suivi mĂ©dical tout au long de la gestation. Chez les adultes, une Ă©lĂ©vation significative de ce taux nĂ©cessite d'en dĂ©terminer l'origine. En effet, il est impĂ©ratif de rĂ©tablir le plus rapidement possible une filtration glomĂ©rulaire qualitative afin de faciliter l'Ă©vacuation des dĂ©chets mĂ©taboliques produits par l' faire si la clairance de la crĂ©atinine est trop basse ?La mesure seule de la clairance de la crĂ©atinine ne suffit pas Ă Ă©tablir le diagnostic formel de l'insuffisance rĂ©nale. Face Ă des rĂ©sultats anormalement bas, le mĂ©decin va alors pousser son exploration en prĂ©conisant la rĂ©alisation d'examens mĂ©dicaux complĂ©mentaires bilan sanguin complet, Ă©chographie rĂ©nale⊠Ce n'est qu'au terme d'investigations complĂštes que la stratĂ©gie thĂ©rapeutique la plus adaptĂ©e sera proposĂ©e au patient en fonction de la sĂ©vĂ©ritĂ© de l'atteinte. Cela peut aller de la simple modification du rĂ©gime alimentaire Ă la prise de mĂ©dicaments en passant par la dialyse. Tous les sujets Le 11 juin 2017 Faire pipi, quoi de plus naturel! En gĂ©nĂ©ral, on urine plusieurs fois par jour, sans y prĂȘter que sait-on exactement de cette vidange quotidienne effectuĂ©e par les reins, sans laquelle nous ne pourrions pas vivre? Par Apolline Henry Le 16 avr 2017 HospitalisĂ©e en Inde depuis le mois de fĂ©vrier, Eman Ahmed Abd El Aty a rĂ©ussi Ă perdre 242 kilos en l'espace de 2 mois seulement une extraordinaire perte de poids notamment permise par la chirurgie bariatrique. Par Catherine Cordonnier Le 12 mars 2015 Entre 8 et 10% de la population adulte souffre d'une maladie des reins. Et chaque annĂ©e, des millions de personnes dĂ©cĂšdent prĂ©maturĂ©ment de complications liĂ©es Ă la maladie rĂ©nale chronique. La JournĂ©e mondiale du rein est l'occasion d'attirer l'attention du grand public sur cet organe souvent nĂ©gligĂ©. Par Agathe Mayer Le 25 aoĂ»t 2014 Portatif, peu couteux et simple Ă utiliser, le Beta-bioled est un nouveau dispositif capable de rĂ©aliser des tests sanguins les plus courants. Actuellement il nâexiste pas de traitement antiviral spĂ©cifique pour la prise en charge des pneumopathies sĂ©vĂšres Ă SARS-CoV-2. Le Haut Conseil de sa ActualitĂ© SantĂ© MĂ©dicaments Anti-infectieux generaux Ă usage systĂ©mique Antiviraux Ă usage systĂ©mique Valganciclovir teva 450 mg, comprimĂ© pelliculĂ©, boĂźte de 60 Valganciclovir teva est un mĂ©dicament gĂ©nĂ©rique sous forme de comprimĂ© pelliculĂ© 60 Ă base de Valganciclovir 450 mg.Autorisation de mise sur le marchĂ© le 31/08/2016 par TEVA SANTE au prix de 590,11âŹ. Ă propos Principes actifs Valganciclovir chlorhydrate Excipients Noyau Cellulose microcristalline Mannitol MagnĂ©sium stĂ©arate Silice colloĂŻdale Crospovidone Pelliculage Opadry II 32K54870 rose Hypromellose Titane dioxyde Lactose monohydratĂ© TriacĂ©tine Fer oxyde Classification ATC anti-infectieux generaux Ă usage systĂ©mique antiviraux Ă usage systĂ©mique antiviraux a action directe nuclĂ©osides et nuclĂ©otides, inhibiteurs de la transcriptase inverse exclus valganciclovir Statut Ce mĂ©dicament est autorisĂ© sur le marchĂ© depuis le 31/08/2016. Indications pourquoi le prendre? VALGANCICLOVIR TEVA est indiquĂ© dans le traitement d'attaque et le traitement d'entretien de la rĂ©tinite Ă cytomĂ©galovirus CMV chez les adultes atteints de syndrome d'immunodĂ©ficience acquise SIDA. VALGANCICLOVIR TEVA est indiquĂ© en traitement prophylactique des infections Ă CMV chez les adultes et les enfants de la naissance Ă 18 ans CMV-nĂ©gatifs ayant bĂ©nĂ©ficiĂ© d'une transplantation d'organe solide Ă partir d'un donneur CMV-positif. Contre indications pourquoi ne pas le prendre ? HypersensibilitĂ© au valganciclovir, au ganciclovir ou Ă l'un des excipients mentionnĂ©s Ă la rubrique Liste des excipients. Du fait de la similaritĂ© de structure chimique du valganciclovir substance active de VALGANCICLOVIR TEVA avec celle de l'aciclovir et du valaciclovir, une rĂ©action d'hypersensibilitĂ© croisĂ©e entre ces mĂ©dicaments est possible. De ce fait, VALGANCICLOVIR TEVA est contre-indiquĂ© chez les patients prĂ©sentant une hypersensibilitĂ© Ă l'aciclovir ou au valaciclovir. VALGANCICLOVIR TEVA est contre-indiquĂ© durant l'allaitement voir rubrique FertilitĂ©, grossesse et allaitement. Posologie et mode d'administration Posologie Attention - Il est essentiel d'observer strictement les recommandations posologiques afin d'Ă©viter un surdosage ; voir rubriques Mises en garde et prĂ©cautions d'emploi et Surdosage. Le valganciclovir est rapidement et largement mĂ©tabolisĂ© en ganciclovir aprĂšs administration orale. Un traitement par le valganciclovir per os Ă la posologie de 900 mg deux fois par jour Ă©quivaut Ă un traitement par le ganciclovir administrĂ© par voie IV Ă la posologie de 5 mg/kg deux fois par jour. Traitement de la rĂ©tinite Ă cytomĂ©galovirus CMV Adulte Traitement d'attaque de la rĂ©tinite Ă CMV Pour les patients prĂ©sentant une rĂ©tinite Ă CMV Ă©volutive, la posologie recommandĂ©e est de 900 mg de valganciclovir deux comprimĂ©s de VALGANCICLOVIR TEVA dosĂ©s Ă 450 mg deux fois par jour pendant 21 jours ; les comprimĂ©s doivent ĂȘtre pris dans la mesure du possible avec des aliments. Un traitement d'attaque prolongĂ© peut accroĂźtre le risque de toxicitĂ© mĂ©dullaire voir rubrique Mises en garde et prĂ©cautions d'emploi. Traitement d'entretien de la rĂ©tinite Ă CMV En poursuite d'un traitement d'attaque ou chez les patients prĂ©sentant une rĂ©tinite Ă CMV non Ă©volutive, la posologie recommandĂ©e est de 900 mg de valganciclovir deux comprimĂ©s de VALGANCICLOVIR TEVA dosĂ©s Ă 450 mg une fois par jour ; les comprimĂ©s doivent ĂȘtre pris dans la mesure du possible avec des aliments. Le traitement d'attaque peut ĂȘtre rĂ©pĂ©tĂ© chez les patients dont la rĂ©tinite s'aggrave ; toutefois, la possibilitĂ© d'une rĂ©sistance virale au mĂ©dicament devra ĂȘtre envisagĂ©e. Traitement prophylactique de la maladie Ă CMV en transplantation d'organes solides Adultes Chez les patients ayant reçu une greffe de rein, la posologie recommandĂ©e est de 900 mg deux comprimĂ©s de VALGANCICLOVIR TEVA dosĂ©s Ă 450 mg une fois par jour, le traitement doit ĂȘtre dĂ©butĂ© dans les 10 jours suivant la transplantation et poursuivi jusqu'Ă 100 jours aprĂšs celle-ci. La prophylaxie peut ĂȘtre poursuivie jusqu'Ă 200 jours aprĂšs la transplantation voir rubriques Mises en garde et prĂ©cautions d'emploi, Effets indĂ©sirables et PropriĂ©tĂ©s pharmacodynamiques. Chez les patients transplantĂ©s d'un organe solide autre que le rein, la posologie recommandĂ©e est de 900 mg deux comprimĂ©s de VALGANCICLOVIR TEVA dosĂ©s Ă 450 mg une fois par jour, le traitement devant ĂȘtre dĂ©butĂ© dans les 10 jours suivant la transplantation et poursuivi jusqu'Ă 100 jours aprĂšs celle-ci. Les comprimĂ©s doivent ĂȘtre pris dans la mesure du possible avec des aliments. Population pĂ©diatrique Chez des enfants ayant reçu une greffe d'organe solide, dĂšs la naissance, qui ont un risque de dĂ©velopper une infection Ă CMV, la dose quotidienne unique recommandĂ©e de VALGANCICLOVIR TEVA est calculĂ©e en fonction de la surface corporelle SC et de la clairance de la crĂ©atinine ClCr, calculĂ©e avec la formule de Schwartz ClCrS, selon l'Ă©quation suivante Posologie pĂ©diatrique mg = 7 Ă SC Ă ClCrS voir la formule de la surface corporelle de Mosteller et la formule de la clairance de la crĂ©atinine de Schwartz ci-dessous. Si la clairance de la crĂ©atinine calculĂ©e selon la formule de Schwartz dĂ©passe 150 ml/min/1,73 mÂČ, alors une valeur maximale de 150 ml/min/1,73 mÂČ doit ĂȘtre utilisĂ©e dans l'Ă©quation k = 0,45* pour les patients ĂągĂ©s de moins de 2 ans ; 0,55 pour les garçons ĂągĂ©s de 2 Ă moins de 13 ans et pour les filles ĂągĂ©es de 2 Ă 16 ans ; et 0,7 pour les garçons ĂągĂ©s de 13 Ă 16 ans. Pour les patients ĂągĂ©s de plus de 16 ans, se rĂ©fĂ©rer Ă la posologie de l'adulte. Les valeurs de k sont basĂ©es sur la mĂ©thode de JaffĂ© pour la mesure de la crĂ©atinine sĂ©rique et peuvent nĂ©cessiter une correction lorsque des mĂ©thodes enzymatiques sont utilisĂ©es. * Pour certaines sous-populations, une diminution de la valeur du k peut Ă©galement ĂȘtre nĂ©cessaire par exemple chez les enfants ayant un faible poids Ă la naissance. Pour les enfants ayant reçu une greffe de rein, la dose quotidienne unique recommandĂ©e en mg 7 Ă SC Ă ClCrS doit ĂȘtre administrĂ©e dans les 10 jours suivant la transplantation et se poursuivre jusqu'Ă 200 jours aprĂšs la transplantation. Pour les enfants ayant reçu une greffe d'organe solide autre que le rein, la dose quotidienne unique recommandĂ©e en mg 7 Ă SC Ă ClCrS doit ĂȘtre administrĂ©e dans les 10 jours suivant la transplantation et se poursuivre jusqu'Ă 100 jours aprĂšs la transplantation. Toutes les doses calculĂ©es doivent ĂȘtre arrondies Ă l'incrĂ©ment de 25 mg le plus proche pour la dose rĂ©elle administrable. Si la dose calculĂ©e dĂ©passe 900 mg, une dose maximum de 900 mg doit ĂȘtre administrĂ©e. La solution buvable est la formulation recommandĂ©e dans la mesure oĂč elle permet d'administrer une dose calculĂ©e selon la formule ci-dessus. Cependant, les comprimĂ©s pelliculĂ©s de VALGANCICLOVIR TEVA peuvent ĂȘtre utilisĂ©s si la dose calculĂ©e est comprise dans une fenĂȘtre de plus ou moins 10 % des dosages disponibles en comprimĂ©s, et si le patient est en mesure d'avaler des comprimĂ©s. Par exemple, si la dose calculĂ©e est comprise entre 405 mg et 495 mg, un comprimĂ© Ă 450 mg peut ĂȘtre administrĂ©. Il est recommandĂ© de contrĂŽler la crĂ©atinine sĂ©rique rĂ©guliĂšrement et de prendre en compte les variations de taille et de poids corporel, puis d'adapter la posologie en consĂ©quence au cours de la pĂ©riode de prophylaxie. Instructions posologiques particuliĂšres Insuffisance rĂ©nale La crĂ©atinine sĂ©rique ou la clairance de la crĂ©atinine doivent ĂȘtre Ă©troitement surveillĂ©es. La posologie doit ĂȘtre ajustĂ©e en fonction de la clairance de la crĂ©atinine comme indiquĂ© dans le tableau ci-dessous voir rubriques Mises en garde et prĂ©cautions d'emploi et PropriĂ©tĂ©s pharmacocinĂ©tiques. Une estimation de la clairance de la crĂ©atinine ml/min peut ĂȘtre obtenue Ă partir de la valeur de la crĂ©atinine sĂ©rique au moyen de la formule suivante Chez la femme = 0,85 x la valeur chez l'homme ClCr ml/min Posologie du valganciclovir Traitement d'attaque Posologie du valganciclovir Traitement d'entretien - Prophylaxie â„ 60 900 mg 2 comprimĂ©s 2 fois par jour 900 mg 2 comprimĂ©s 1 fois par jour 40 - 59 450 mg 1 comprimĂ© 2 fois par jour 450 mg 1 comprimĂ© 1 fois par jour 25 - 39 450 mg 1 comprimĂ© 1 fois par jour 450 mg 1 comprimĂ© tous les 2 jours 10 - 24 450 mg 1 comprimĂ© tous les 2 jours 450 mg 1 comprimĂ© 2 fois par semaine 600 copies/ml Ă la fin de la prophylaxie et/ou patients qui ont une maladie Ă CMV confirmĂ©e jusqu'Ă 12 mois 52 semaines aprĂšs la transplantation. Trois patients dans chaque groupe de traitement ont eu une mutation de rĂ©sistance au ganciclovir. Population pĂ©diatrique Traitement de la rĂ©tinite Ă CMV L'Agence europĂ©enne des mĂ©dicaments a accordĂ© une dispense vis-Ă -vis de l'obligation d'effectuer des Ă©tudes avec le valganciclovir dans tous les sous-groupes de la population pĂ©diatrique dans le traitement de l'infection Ă CMV chez des patients immunodĂ©primĂ©s voir rubrique Posologie et mode d'administration pour les informations concernant l'usage pĂ©diatrique. PrĂ©vention des infections Ă CMV en cas de transplantation Dans une Ă©tude de pharmacocinĂ©tique et de sĂ©curitĂ© de phase II chez des enfants ayant bĂ©nĂ©ficiĂ© d'une transplantation d'organe solide ĂągĂ©s de 4 mois Ă 16 ans, n = 63, le valganciclovir a Ă©tĂ© administrĂ© une fois par jour jusqu'Ă 100 jours selon un algorithme d'adaptation posologique permettant d'obtenir des expositions similaires Ă celles de l'adulte voir rubrique PropriĂ©tĂ©s pharmacocinĂ©tiques. Le suivi aprĂšs le traitement Ă©tait de 12 semaines. Le statut sĂ©rologique CMV D/R initial Ă©tait D+/R- dans 40 % des cas, D+/R+ dans 38 %, D-/R+ dans 19 % et D-/R- dans 3 % des cas. La prĂ©sence du virus CMV a Ă©tĂ© rapportĂ©e chez 7 patients. Les effets indĂ©sirables observĂ©s Ă©taient de nature similaire Ă ceux rapportĂ©s chez l'adulte voir rubrique Effets indĂ©sirables. Une Ă©tude de tolĂ©rance de phase IV chez des enfants ayant bĂ©nĂ©ficiĂ© d'une greffe de rein ĂągĂ©s de 1 Ă 16 ans, n = 57 recevant du valganciclovir une fois par jour jusqu'Ă 200 jours, selon l'algorithme posologique voir rubrique Posologie et mode d'administration, a mis en Ă©vidence une faible incidence du CMV. Le suivi post-thĂ©rapeutique a Ă©tĂ© de 24 semaines. Le statut sĂ©rologique des donneurs et des receveurs D/R vis-Ă -vis du CMV Ă l'inclusion a Ă©tĂ© le suivant D+/R+ dans 45 % des cas ; D+/R- dans 39 % des cas ; D-/R+ dans 7 % des cas ; D-/R- dans 7 % des cas et non dĂ©terminĂ© ND/R+ dans 2 % des cas. Une virĂ©mie Ă CMV a Ă©tĂ© rapportĂ©e chez trois patients et une maladie Ă CMV a Ă©tĂ© suspectĂ©e chez un patient, mais non confirmĂ©e par une PCR effectuĂ©e sur le CMV par le laboratoire central. Les effets indĂ©sirables observĂ©s ont Ă©tĂ© de nature similaire Ă ceux survenant chez les patients adultes voir rubrique Effets indĂ©sirables. Ces donnĂ©es soutiennent l'extrapolation des donnĂ©es d'efficacitĂ© des adultes Ă des enfants, et permettent de fournir des recommandations posologiques pour les patients pĂ©diatriques. Une Ă©tude de pharmacocinĂ©tique et de tolĂ©rance de phase I chez des patients ayant bĂ©nĂ©ficiĂ© d'une greffe cardiaque ĂągĂ©s de 3 semaines Ă 125 jours, n = 14, traitĂ©s par une dose quotidienne unique de valganciclovir selon l'algorithme posologique pĂ©diatrique voir rubrique Posologie et mode d'administration pendant deux jours consĂ©cutifs, a mis en Ă©vidence des expositions similaires Ă celles constatĂ©es chez l'adulte voir rubrique PropriĂ©tĂ©s pharmacocinĂ©tiques. Le suivi post-thĂ©rapeutique a Ă©tĂ© de sept jours. Le profil de tolĂ©rance a Ă©tĂ© conforme Ă celui observĂ© au cours d'autres Ă©tudes menĂ©es chez des enfants et des adultes, bien que le nombre de patients et l'exposition au valganciclovir aient Ă©tĂ© limitĂ©s au cours de cette Ă©tude. Infection Ă CMV congĂ©nitale L'efficacitĂ© et la tolĂ©rance du ganciclovir et/ou du valganciclovir ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©es dans deux Ă©tudes chez des nouveau-nĂ©s et des nourrissons prĂ©sentant une infection symptomatique congĂ©nitale Ă CMV. Au cours de la premiĂšre Ă©tude, la pharmacocinĂ©tique et la tolĂ©rance d'une dose unique de valganciclovir Ă©cart de doses 14-16-20 mg/kg/dose ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©es chez 24 nouveau-nĂ©s ĂągĂ©s de 8 Ă 34 jours atteints d'une infection congĂ©nitale Ă CMV symptomatique voir rubrique PropriĂ©tĂ©s pharmacocinĂ©tiques. Les nouveau-nĂ©s ont reçu 6 semaines de traitement antiviral. Parmi les 24 patients, 19 ont reçu jusqu'Ă 4 semaines de traitement oral par valganciclovir suivi de ganciclovir par voie au cours des 2 semaines suivantes. Les 5 autres patients ont reçu le ganciclovir par voie pendant la pĂ©riode de suivi de l'Ă©tude. Dans la seconde Ă©tude, l'efficacitĂ© et la tolĂ©rance d'un traitement par le valganciclovir de six semaines par rapport Ă six mois ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©es chez 109 nourrissons ĂągĂ©s de 2 Ă 30 jours prĂ©sentant une infection symptomatique congĂ©nitale Ă CMV. Tous les nourrissons ont reçu le valganciclovir par voie orale Ă la posologie de 16 mg/kg deux fois par jour pendant six semaines. AprĂšs six semaines de traitement, les nourrissons ont Ă©tĂ© randomisĂ©s selon une proportion de 11 pour poursuivre le traitement par le valganciclovir Ă la mĂȘme posologie ou recevoir un placebo afin de complĂ©ter les six mois de traitement. Le valganciclovir n'est actuellement pas recommandĂ© dans cette indication thĂ©rapeutique. Le design des Ă©tudes et les rĂ©sultats obtenus sont trop limitĂ©s pour conclure sur l'efficacitĂ© et la sĂ©curitĂ© du propriĂ©tĂ©s pharmacocinĂ©tiques du valganciclovir ont Ă©tĂ© Ă©valuĂ©es chez des patients sĂ©ropositifs pour le VIH et le CMV, chez des patients atteints du SIDA et de rĂ©tinite Ă CMV et chez des patients transplantĂ©s. Absorption Le valganciclovir est une prodrogue du ganciclovir. Il est bien absorbĂ© Ă partir du tube digestif et rapidement et largement mĂ©tabolisĂ© en ganciclovir dans la paroi intestinale et le foie. L'exposition systĂ©mique au valganciclovir est transitoire et faible. La biodisponibilitĂ© absolue du ganciclovir issu du valganciclovir est d'environ 60 % pour l'ensemble des populations de patients Ă©tudiĂ©es et l'exposition rĂ©sultante au ganciclovir est similaire Ă celle obtenue aprĂšs administration intraveineuse de ganciclovir voir ci-dessous. En comparaison, la biodisponibilitĂ© du ganciclovir aprĂšs une administration orale de 1000 mg en gĂ©lules est de 6 Ă 8 %. Valganciclovir chez les patients VIH+, CMV+ L'exposition systĂ©mique de patients VIH+, CMV+ aprĂšs administration deux fois par jour de ganciclovir et de valganciclovir pendant une semaine est la suivante ParamĂštre Ganciclovir 5 mg/kg, IV n = 18 Valganciclovir 900 mg, per os n = 25 Ganciclovir Valganciclovir ASC 0-12 h 28,6 ± 9,0 32,8 ± 10,1 0,37 ± 0,22 Cmax ”g/ml 10,4 ± 4,9 6,7 ± 2,1 0,18 ± 0,06 L'efficacitĂ© du ganciclovir Ă accroĂźtre le dĂ©lai avant progression de la rĂ©tinite Ă CMV s'est rĂ©vĂ©lĂ©e corrĂ©lĂ©e avec l'exposition systĂ©mique ASC. Valganciclovir chez les patients transplantĂ©s d'organes solides L'exposition systĂ©mique Ă l'Ă©tat d'Ă©quilibre de patients transplantĂ©s aprĂšs administration quotidienne orale de ganciclovir et de valganciclovir est la suivante ParamĂštre Ganciclovir 1000 mg 3x/j n = 82 Valganciclovir 900 mg 1 fois par jour n = 161 Ganciclovir ASC 0-24 h 28,0 ± 10,9 46,3 ± 15,2 Cmax ”g/ml 1,4 ± 0,5 5,3 ± 1,5 L'exposition systĂ©mique au ganciclovir Ă©tait similaire chez les patients ayant reçu une greffe de coeur, de rein ou de foie aprĂšs administration orale de valganciclovir en respectant l'algorithme de rĂ©duction de la posologie tenant compte de l'Ă©tat de la fonction rĂ©nale. Effet de l'alimentation La proportionnalitĂ© Ă la dose de l'ASC du ganciclovir aprĂšs administration de 450 Ă 2625 mg de valganciclovir n'a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ©e que chez le sujet ayant pris des aliments. Lorsque le valganciclovir Ă©tait administrĂ© en prĂ©sence d'aliments Ă la dose recommandĂ©e de 900 mg, des augmentations Ă©taient constatĂ©es Ă la fois pour l'ASC moyenne du ganciclovir environ 30 % et pour la Cmax moyenne du ganciclovir environ 14 %, par comparaison Ă l'administration Ă jeun. En outre, les variations interindividuelles de l'exposition au ganciclovir diminuent lorsque le valganciclovir est pris avec des aliments. Le valganciclovir a toujours Ă©tĂ© administrĂ© avec des aliments au cours des Ă©tudes cliniques. Il est par consĂ©quent recommandĂ© d'administrer le valganciclovir avec des aliments voir rubrique Posologie et mode d'administration. Distribution En raison de la conversion rapide du valganciclovir en ganciclovir, la liaison du valganciclovir aux protĂ©ines n'a pas Ă©tĂ© dĂ©terminĂ©e. La liaison du ganciclovir aux protĂ©ines plasmatiques Ă©tait de 1 Ă 2 % sur des concentrations de 0,5 et 51 ”g/ml. Le volume de distribution du ganciclovir Ă l'Ă©tat d'Ă©quilibre aprĂšs administration intraveineuse Ă©tait de 0,680 ± 0,161 l/kg n = 114. Biotransformation Le valganciclovir est rapidement et largement mĂ©tabolisĂ© en ganciclovir ; aucun autre mĂ©tabolite n'a Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©. Aucun mĂ©tabolite du ganciclovir marquĂ© par un isotope radioactif administrĂ© par voie orale dose unique de 1000 mg n'a reprĂ©sentĂ© plus de 1 Ă 2 % de la radioactivitĂ© retrouvĂ©e dans les fĂšces ou dans l'urine. Ălimination AprĂšs administration du valganciclovir, l'excrĂ©tion rĂ©nale sous forme de ganciclovir par filtration glomĂ©rulaire et sĂ©crĂ©tion tubulaire active est la principale voie d'Ă©limination du valganciclovir. La clairance rĂ©nale reprĂ©sente 81,5 % ± 22 % n = 70 de la clairance systĂ©mique du ganciclovir. La demi-vie du ganciclovir issu du valganciclovir est de 4,1 ± 0,9 heures chez des patients sĂ©ropositifs pour le VIH et le CMV. PharmacocinĂ©tique dans des situations cliniques particuliĂšres Insuffisance rĂ©nale L'altĂ©ration de la fonction rĂ©nale a conduit Ă une diminution de la clairance du ganciclovir issu du valganciclovir et Ă une augmentation correspondante de la demi-vie terminale. Par consĂ©quent, une adaptation de la posologie est nĂ©cessaire chez l'insuffisant rĂ©nal voir rubriques Posologie et mode d'administration et Mises en garde et prĂ©cautions d'emploi. HĂ©modialyse Chez les patients hĂ©modialysĂ©s, il est impossible de recommander une posologie pour VALGANCICLOVIR TEVA 450 mg, comprimĂ© pelliculĂ©. En effet, la dose individuelle de valganciclovir nĂ©cessaire pour ces patients est infĂ©rieure au dosage du comprimĂ© 450 mg. De ce fait, le valganciclovir ne doit pas ĂȘtre utilisĂ© chez ces patients voir rubriques Posologie et mode d'administration et Mises en garde et prĂ©cautions d'emploi. Insuffisance hĂ©patique La sĂ©curitĂ© et l'efficacitĂ© des comprimĂ©s de Valganciclovir chez l'insuffisant hĂ©patique n'ont pas Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©es. L'insuffisance hĂ©patique ne devrait pas affecter la pharmacocinĂ©tique du ganciclovir puisqu'il est excrĂ©tĂ© par voie rĂ©nale ; de ce fait, aucune recommandation posologique spĂ©cifique ne peut ĂȘtre donnĂ©e. Population pĂ©diatrique Dans une Ă©tude de pharmacocinĂ©tique et de sĂ©curitĂ© de phase II chez des enfants ayant bĂ©nĂ©ficiĂ© d'une transplantation d'organe solide ĂągĂ©s de 4 mois Ă 16 ans, n = 63, le valganciclovir a Ă©tĂ© donnĂ© une fois par jour jusqu'Ă 100 jours. Les paramĂštres pharmacocinĂ©tiques obtenus ont Ă©tĂ© similaires quel que soit l'organe transplantĂ© et l'Ăąge et ils ont Ă©tĂ© comparables Ă ceux obtenus chez l'adulte. Un modĂšle pharmacocinĂ©tique de population a dĂ©montrĂ© que la biodisponibilitĂ© Ă©tait d'environ 60 %. La clairance a Ă©tĂ© corrĂ©lĂ©e positivement Ă la fois Ă la surface corporelle et Ă la fonction rĂ©nale. Dans une Ă©tude de pharmacocinĂ©tique et de sĂ©curitĂ© de phase I chez des enfants ayant bĂ©nĂ©ficiĂ© d'une greffe de coeur ĂągĂ©s de 3 semaines Ă 125 jours, n = 14, le valganciclovir a Ă©tĂ© administrĂ© une fois par jour durant deux jours. Les propriĂ©tĂ©s pharmacocinĂ©tiques de population ont permis d'estimer une biodisponibilitĂ© moyenne de 64 %. Une comparaison des rĂ©sultats de ces deux Ă©tudes avec les rĂ©sultats pharmacocinĂ©tiques obtenus dans la population adulte montre que les intervalles de l'ASC0-24h ont Ă©tĂ© semblables dans toutes les tranches d'Ăąge, y compris les adultes. Les valeurs moyennes de l'ASC0-24h et de la Cmax ont Ă©galement Ă©tĂ© similaires dans toutes les tranches d'Ăąge pĂ©diatriques infĂ©rieures Ă 12 ans, bien qu'il ait Ă©tĂ© observĂ© une tendance Ă une diminution des valeurs moyennes de l'ASC0-24h et de la Cmax dans l'ensemble de la population pĂ©diatrique, montrant une corrĂ©lation avec l'augmentation de l'Ăąge. Cette tendance a Ă©tĂ© plus prononcĂ©e pour les valeurs moyennes de la clairance et de la demi-vie tœ. Cependant, ces rĂ©sultats Ă©taient attendus dans la mesure oĂč la clairance est influencĂ©e par les changements du poids, de la taille et de la fonction rĂ©nale associĂ©s Ă la croissance des patients, comme cela est indiquĂ© par la modĂ©lisation des propriĂ©tĂ©s pharmacocinĂ©tiques de population. Le tableau, ci-aprĂšs, rĂ©sume les intervalles des ASC0-24h estimĂ©s par le modĂšle pour le ganciclovir Ă partir de ces deux Ă©tudes, ainsi que les valeurs moyennes et l'Ă©cart type de l'ASC0-24h, de la Cmax, de la clairance et de la tœ pour les groupes d'Ăąge pĂ©diatriques pertinents comparativement aux valeurs obtenues chez l'adulte ParamĂštre PK Adultes* Enfants â„ 18 ans n = 160 2 - < 12 ans n = 21 â„ 12 ans - 16 ans n = 25 ASC0-24h ÎŒg h/ml 46,3 ± 15,2 68,1 ± 19,8 64,3 ± 29,2 59,2 ± 15,1 50,3 ± 15,0 Intervalle d'ASC0-24h 15,4 - 116,1 34 - 124 34 - 152 36 - 108 22 - 93 Cmax ”g/ml 5,3 ± 1,5 10,5 ± 3,36 10,3 ± 3,3 9,4 ± 2,7 8,0 ± 2,4 Clairance L/h 12,7 ± 4,5 1,25 ± 0,473 2,5 ± 2,4 4,5 ± 2,9 6,4 ± 2,9 tœ h 6,5 ± 1,4 1,97 ± 0,185 3,1 ± 1,4 4,1 ± 1,3 5,5 ± 1,1 * Extrait du rapport d'Ă©tude PV 16000 La dose unique quotidienne de valganciclovir dans les deux Ă©tudes dĂ©crites ci-dessus a Ă©tĂ© dĂ©terminĂ©e sur la base de la surface corporelle SC et de la clairance de la crĂ©atinine ClCr selon la formule de Schwartz modifiĂ©e et a Ă©tĂ© calculĂ©e en utilisant l'algorithme posologique prĂ©sentĂ© dans la rubrique Posologie et mode d'administration. Les propriĂ©tĂ©s pharmacocinĂ©tiques du ganciclovir aprĂšs l'administration de valganciclovir ont Ă©galement Ă©tĂ© Ă©valuĂ©es au cours de deux Ă©tudes menĂ©es chez des nouveau-nĂ©s et des nourrissons prĂ©sentant une infection congĂ©nitale symptomatique Ă CMV. Dans la premiĂšre Ă©tude, 24 nouveau-nĂ©s ĂągĂ©s de 8 Ă 34 jours ont reçu 6 mg/kg de ganciclovir intraveineux deux fois par jour. Les patients ont ensuite Ă©tĂ© traitĂ©s par valganciclovir oral, la dose de valganciclovir poudre pour solution buvable Ă©tant comprise entre 14 mg/kg et 20 mg/kg deux fois par jour. La durĂ©e totale du traitement a Ă©tĂ© de six semaines. Une dose de 16 mg/kg deux fois par jour de valganciclovir poudre pour solution buvable a dĂ©montrĂ© une exposition au ganciclovir comparable Ă 6 mg/kg de ganciclovir intraveineux deux fois par jour chez les nouveaux nĂ©s et a permis d'atteindre une exposition au ganciclovir similaire Ă une dose intraveineuse efficace de 5 mg/kg chez l'adulte. Dans la deuxiĂšme Ă©tude, 109 nouveau-nĂ©s ĂągĂ©s de 2 Ă 30 jours ont reçu 16 mg/kg de valganciclovir poudre pour solution buvable deux fois par jour pendant six semaines, puis 96 des 109 patients ont Ă©tĂ© randomisĂ©s pour continuer Ă recevoir le valganciclovir ou un placebo pendant six mois. Cependant, les valeurs moyennes de l'ASC0-12h ont Ă©tĂ© infĂ©rieures par rapport Ă celles de la premiĂšre Ă©tude. Le tableau, ci-aprĂšs, prĂ©sente les valeurs moyennes de l'ASC, de la Cmax et de la tœ, avec les Ă©carts types, comparativement aux donnĂ©es obtenues chez l'adulte ParamĂštre PK Adultes Patients pĂ©diatriques nouveau-nĂ©s et nourrissons 5 mg/kg GAN Dose unique n = 8 6 mg/kg GAN Deux fois par jour n = 19 16 mg/kg VAL Deux fois par jour n = 19 16 mg/kg VAL Deux fois par jour n = 100 ASC0-â 25,4 ± 4,32 - - - ASC12h - 38,2 ± 42,7 30,1 ± 15,1 20,85 ± 5,40 Cmax ”g/ml 9,03 ± 1,26 12,9 ± 21,5 5,44 ± 4,04 - t1/2 h 3,32 ± 0,47 2,52 ± 0,55 2,98 ± 1,26 2,98 ± 1,12 GAN = Ganciclovir, VAL = Valganciclovir, oral Ces donnĂ©es sont trop limitĂ©es pour tirer des conclusions en matiĂšre d'efficacitĂ© ou donner des recommandations posologiques pour les enfants souffrant d'infection congĂ©nitale Ă CMV. DurĂ©e et prĂ©cautions particuliĂšres de conservation DurĂ©e de conservation 3 ans. Flacon Le mĂ©dicament doit ĂȘtre utilisĂ© dans les 9 mois suivant l'ouverture du particuliĂšres de conservation Ce mĂ©dicament ne nĂ©cessite pas de prĂ©cautions particuliĂšres de mĂ©dicament non utilisĂ© ou dĂ©chet doit ĂȘtre Ă©liminĂ© conformĂ©ment Ă la rĂ©glementation en 30 et 30 x 1, 60 et 60 x 1 comprimĂ©s sous plaquettes PVC/ACLAR/PVC/Aluminium. 30 comprimĂ©s pelliculĂ©s en flacon blanc en polyĂ©thylĂšne de haute densitĂ© PEHD de 60 ml contenant une cartouche de dessicant 3 g et bouchon avec sĂ©curitĂ© enfant en polypropylĂšne PP. 60 comprimĂ©s pelliculĂ©s en flacon blanc en polyĂ©thylĂšne de haute densitĂ© PEHD de 100 ml contenant une cartouche de dessicant 3 g et bouchon avec sĂ©curitĂ© enfant en polypropylĂšne PP. Toutes les prĂ©sentations peuvent ne pas ĂȘtre commercialisĂ©es.