Laprothèse définitive (qu’il s’agisse d’une couronne soutenue par un implant, d’un bridge fixe ou d’un dentier fixe amovible) est placée après les quatre à six semaines requises pour l’ostéo-intégration. Une fois les implants dentaires complètement intégrés à l’os et les prothèses définitives placées, la plongée ne présente plus aucun risque pour les implants ou
HBLD332 Pose d'une prothèse amovible définitive à châssis métallique, comportant 4 dents 204,25 €Remboursement 1 2014→ HBLD022 Pose d'une prothèse amovible de transition à plaque base résine, comportant 9 à 13 dents 1 2005→2014 HBLD024 Pose d'une prothèse amovible définitive à plaque base résine, comportant 9 à 13 dents 1 2005→2014 HBLD025 Pose d'une prothèse amovible de transition à plaque base résine, comportant 5 à 8 dents 1 2005→2014 HBLD026 Pose d'une prothèse amovible définitive à châssis métallique, comportant 1 à 4 dents 1 2005→2014 HBLD027 Pose d'une prothèse amovible définitive à châssis métallique, comportant 5 à 8 dents 1 2005→2014 HBLD028 Pose d'une prothèse amovible de transition à plaque base résine, comportant 1 à 4 dents 1 2005→2014 HBLD029 Pose d'une prothèse amovible définitive à châssis métallique, comportant 9 à 13 dents 1 2005→2014 HBLD031 Pose d'une prothèse amovible définitive complète unimaxillaire à plaque base résine 182,75 € 1 2005→ HBLD032 Pose d'une prothèse amovible de transition complète unimaxillaire à plaque base résine 182,75 € 1 2005→ HBLD035 Pose d'une prothèse amovible définitive complète bimaxillaire à plaque base résine 365,50 € 1 2005→ HBLD039 Pose d'une prothèse amovible de 3 à 10 dents en denture temporaire, mixte ou permanente incomplète 1 2005→2014 HBLD046 Pose d'une prothèse amovible définitive complète bimaxillaire à châssis métallique 623,50 € 1 2005→ HBLD047 Pose d'une prothèse amovible définitive complète unimaxillaire à châssis métallique 311,75 € 1 2005→ HBLD048 Pose d'une prothèse amovible définitive complète unimaxillaire à plaque base résine et d'une prothèse amovible définitive complète unimaxillaire à châssis métallique 494,50 € 1 2005→ HBLD075 Pose d'une prothèse amovible définitive à châssis métallique, comportant 7 dents 236,50 € 1 2014→ HBLD079 Pose d'une prothèse amovible définitive à châssis métallique, comportant 10 dents 268,75 € 1 2014→ HBLD083 Pose d'une prothèse amovible définitive à plaque base résine, comportant 11 dents 150,50 € 1 2014→ HBLD101 Pose d'une prothèse amovible définitive à plaque base résine, comportant 9 dents 129,00 € 1 2014→ HBLD112 Pose d'une prothèse amovible définitive à châssis métallique, comportant 12 dents 290,25 € 1 2014→ HBLD118 Pose d'une prothèse amovible supra-implantaire complète unimaxillaire à plaque base résine 182,75 € 1 2014→ HBLD123 Pose d'une prothèse amovible de transition à plaque base résine, comportant 7 dents 107,50 € 1 2014→ HBLD131 Pose d'une prothèse amovible définitive à châssis métallique, comportant 1 à 3 dents 193,50 € 1 2014→ HBLD132 Pose d'une prothèse amovible supra-implantaire à plaque résine comportant moins de 9 dents 102,13 € 1 2014→ HBLD138 Pose d'une prothèse amovible définitive à plaque base résine, comportant 10 dents 139,75 € 1 2014→ HBLD148 Pose d'une prothèse amovible de transition à plaque base résine, comportant 9 dents 129,00 € 1 2014→ HBLD171 Pose d'une prothèse amovible supra-implantaire complète bimaxillaire à chassis métallique 623,50 € 1 2014→ HBLD199 Pose d'une prothèse amovible supra-implantaire complète bimaxillaire à plaque base résine 365,50 € 1 2014→ HBLD203 Pose d'une prothèse amovible définitive à châssis métallique, comportant 11 dents 279,50 € 1 2014→ HBLD215 Pose d'une prothèse amovible de transition à plaque base résine, comportant 11 dents 150,50 € 1 2014→ HBLD217 Pose d'une prothèse amovible supra-implantaire complète unimaxillaire à chassis métallique 311,75 € 1 2014→ HBLD224 Pose d'une prothèse amovible de transition à plaque base résine, comportant 5 dents 86,00 € 1 2014→ HBLD231 Pose d'une prothèse amovible de transition à plaque base résine, comportant 10 dents 139,75 € 1 2014→ HBLD232 Pose d'une prothèse amovible de transition à plaque base résine, comportant 13 dents 172,00 € 1 2014→ HBLD236 Pose d'une prothèse amovible supra-implantaire à chassis métallique comportant de 9 à 13 dents 279,50 € 1 2014→ HBLD240 Pose d'une prothèse amovible supra-implantaire à chassis métallique comportant moins de 9 dents 236,50 € 1 2014→ HBLD259 Pose d'une prothèse amovible de transition complète bimaxillaire à plaque base résine 365,50 € 1 2018→ HBLD262 Pose d'une prothèse amovible de transition à plaque base résine, comportant 12 dents 161,25 € 1 2014→ HBLD270 Pose d'une prothèse amovible de transition à plaque base résine, comportant 8 dents 118,25 € 1 2014→ HBLD308 Pose d'une prothèse amovible définitive à châssis métallique, comportant 13 dents 301,00 € 1 2014→ HBLD349 Pose d'une prothèse amovible définitive à plaque base résine, comportant 13 dents 172,00 € 1 2014→ HBLD364 Pose d'une prothèse amovible de transition à plaque base résine, comportant 1 à 3 dents 64,50 € 1 2014→ HBLD370 Pose d'une prothèse amovible définitive à plaque base résine, comportant 12 dents 161,25 € 1 2014→ HBLD371 Pose d'une prothèse amovible de transition à plaque base résine, comportant 6 dents 96,75 € 1 2014→ HBLD435 Pose d'une prothèse amovible définitive à châssis métallique, comportant 9 dents 258,00 € 1 2014→ HBLD452 Pose d'une prothèse amovible définitive à châssis métallique, comportant 5 dents 215,00 € 1 2014→ HBLD470 Pose d'une prothèse amovible définitive à châssis métallique, comportant 8 dents 247,25 € 1 2014→ HBLD474 Pose d'une prothèse amovible définitive à châssis métallique, comportant 6 dents 225,75 € 1 2014→ HBLD476 Pose d'une prothèse amovible de transition à plaque base résine, comportant 4 dents 75,25 € 1 2014→ HBLD492 Pose d'une prothèse amovible supra-implantaire à plaque base résine, comportant de 9 à 13 dents 150,50 € 1 2014→
II- Prothèses amovibles. Transition - De. 275 € à 1000 € (bimaxillaire) selon le nombre de dents 1 à 14 . Définitive - de . 480 € à 1 456 € (bimaxillaire) selon le nombre de dent de 9 à 14. Réparation . En résine sans renfort métallique, fêlée ou fracturée - 75 € - code HBMDO20 En résine avec renfort métallique, fêlée
est financé par ses lecteurs. Lorsque vous achetez en cliquant sur les liens de notre site, nous gagnons parfois des commissions d’affiliation qui n’entraînent aucun frais pour vous. Lire la suite. Publiée 01 avril 2016Mis à jour 30 juin 2022 Prothèse fixe ou amovible ? Découvrez quel type de prothèse est adapté à votre situation ! La pose d’une prothèse dentaire est souvent source d’inquiétude car beaucoup de patients sont mal informés, et quand cela devient obligatoire, beaucoup de questions restent sans réponses. Quel est le prix d'une prothèse dentaire ? Quel est le montant du remboursement de la Sécurité sociale ? Quels sont les différents types de prothèses qui existent ? Quels sont les matériaux utilisés ? Quand en a-t-on vraiment besoin et pourquoi ? Vous êtes nombreux à vous poser ce type de questions, et c'est pourquoi l'équipe vous propose un guide sur le sujet. Ce guide complet regroupe toutes les informations sur ce type de soin et notamment les plus importantes comme la question du prix des prothèses dentaires, de leur remboursement ou encore de la procédure de pose. Vous pouvez aussi dès à présent utiliser notre comparateur de mutuelles gratuit afin de trouver la meilleure offre pour votre remboursement de prothèse dentaire Sommaire1 Dans quels cas a-t-on besoin d’une prothèse dentaire ?2 Les types de prothèses dentaires la prothèse dentaire La prothèse amovible partielle ou prothèse adjointe La prothèse amovible complète dentier3 La prothèse dentaire provisoire4 Prothèse dentaire fixe les bridges, couronnes et prothèses sur La Le L’ Les prothèses sur implants5 Les matériaux utilisés pour la fabrication des prothèses dentaires6 Prothèse dentaire prix et remboursement7 Conclusion8 Prothèse dentaire les questions les plus posées9 Quels sont les types de prothèses dentaires ?10 Quel est le prix d'une prothèse dentaire ?11 Qu'est-ce qu'une prothèse dentaire fixe ?12 Quelle est la meilleure prothèse dentaire ? Dans quels cas a-t-on besoin d’une prothèse dentaire ? La prothèse dentaire fixe ou amovible a pour but de remplacer une ou plusieurs dents mais également de protéger les dents abîmées. Il n’y a pas que les boxeurs et les personnes âgées qui perdent leurs dents, bien au contraire, et dans la majorité des cas, ce sont les caries ou encore les parodontites qui justifient la pose de prothèses. Ce dispositif va donc remplacer une ou plusieurs dents afin de retrouver de bonnes fonctions masticatoires et permettre enfin de retrouver un joli sourire. Remplacer des dents absentes et également très important afin d’éviter que les autres dents ne se déplacent Après une dévitalisation, il est également nécessaire de poser une prothèse dentaire pour protéger la dent dévitalisée et éviter les fissures et fractures. Le dentier est aussi une prothèse amovible Les types de prothèses dentaires la prothèse dentaire amovible Le dentier est une prothèse amovible aussi parfois appelé appareil dentaire amovible qui vient remplacer une ou plusieurs dents. On en distingue deux types La prothèse amovible partielle ou prothèse adjointe partielle C’est une prothèse dentaire à châssis métallique rigide qui va remplacer une partie de la dentition. Elle va s’appuyer sur les gencives mais également les dents restantes grâce à des crochets. Ce type de prothèses amovibles est un peu plus stable que la prothèse complète grâce au support apporté par les dents. Elle est réalisée en résine lorsqu’il s’agit d’appareils provisoires ou avec une base en métal les stellites. Ses avantages Elle s’intègre aux dents existantes grâce aux crochetsElle est beaucoup moins chère qu’une prothèse fixeElle est plus stable grâce aux crochetsElle peut accueillir de nouvelles fausses dents » en cas de pertes Ses inconvénients Le patient devra la retirer après chaque repas afin de la nettoyerLe chirurgien-dentiste ne peut pas toujours cacher les crochets métalliques. Elle manque donc d’esthétisme dans ce cas Découvrez notre article dédié au stellite dentaire en cliquant ici. La prothèse amovible complète dentier La prothèse amovible complète est indiquée lorsqu’il y a une absence totale de dents. C’est celle-ci que l’on appelle couramment dentier. Elle est réalisée avec une base en résine et des fausses dents en résine ou en porcelaine. Celle du haut tient par le phénomène de capillarité et celle d’en bas est beaucoup moins stable. D’où l’utilisation de colle » spéciale par les patients. Le chirurgien-dentiste peut poser deux implants dentaires et une barre sur laquelle se fixera la prothèse. Aujourd'hui, de plus en plus de fabricants proposent des prothèses dentaires amovibles souples composées de résines à base de nylon. Ces prothèses offrent un confort absolu et une flexibilité qui les rend presque incassables. Les modèles les plus connus en matière de prothèse dentaire amovible souple sont VALPLAST, FLEXITE,BIOPLAST. Pour en savoir plus sur la fabrication de ce type de prothèse, découvrez la vidéo ci-dessous Vidéo sur la fabrication de la prothèse amovible au laboratoire de prothèse dentaire. Réalisation Les séquences de la vidéo présentent brièvement les étapes principales de la fabrication d'une prothèse dentaire amovible. L'appareil amovible est destiné aux patients édentés complets qui n'ont plus du tout de dents soit parce que leur budget ne leur permet pas d'avoir une prothèse dentaire clipsée ou fixe sur implant, soit parce que le volume osseux est insuffisant et ne permet pas de poser des implants dentaire en vue de stabiliser une prothèse ou de la fixer définitivement. Vous trouverez sur notre chaîne Youtube d'autres vidéos de fabrication de prothèse dentaire prothèse provisoire, prothèse amovible sur dents, prothèse fixe bridge sur implants et sur dents naturelles. Vous trouverez également des informations sur les soins dentaires à l'étranger, en Espagne, Hongrie et au Maroc en consultatn notre site internet Les avantages Elle est moins onéreuse s’il n’y a pas de pose d’implantsSa réalisation est simple et rapide et permet au patient de retrouver enfin une fonction masticatoire Les inconvénients Il est difficile de s’y habituerIl peut blesser surtout au débutIl doit être retiré après chaque repas pour le nettoyer La pose d’une prothèse dentaire amovible La pose dépend bien sûr du type de prothèse. Pour un appareil partiel stellite, votre dentiste va le poser et les crochets vont se fixer sur les dents piliers. Il va ensuite procéder à divers réglages une fois qu’il est en place. Pour la pose d’un appareil dentaire amovible, il va être mis en bouche et le dentiste va vérifier sa bonne tenue et procéder là aussi à divers réglages. Il est souvent nécessaire de consulter plusieurs fois son dentiste afin que la prothèse amovible apporte le plus de confort possible au patient et pour vérifier que tout va bien. Pour en savoir plus sur les dentiers, découvrez notre article dédié. La prothèse dentaire provisoire Dans certains cas particuliers et notamment après la pose d'implants dentaires, durant la phase que l'on appelle ostéointégration, il est possible d'utiliser une prothèse dentaire provisoire afin de rendre au patient son sourire et la pleine fonctionnalité de ses dents en attendant les résultats définitifs de l'implantation. Les prothèses provisoires peuvent également être complètes ou partielles et se présenter sous une forme dure ou souple. Le prix des prothèses dentaires provisoires dépend de nombreux facteurs comme leur type complète ou partielle et le matériau utilisé pour leur confection. Pour vous donner une idée, voici un tableau reprenant quelques exemples de prix de prothèse dentaire provisoire Type de prothèse provisoireTarifRemboursement par la Sécurité socialeProthèse partielle une dentEnviron 450 €45,15 € 70% du tarif de conventionProthèse partielle 10 dentsEnviron 1800 €127,93 € 70% du tarif de conventionProthèse complèteEntre 1230 € et 2500 €127,93 € 70% du tarif de convention Prothèse dentaire fixe les bridges, couronnes et prothèses sur implants Lorsqu’une ou plusieurs dents viennent à manquer, le chirurgien peut vous proposer une couronne, un bridge, un implant ou la technique de l’onlay/inlay. Nous vous détaillons les 4 afin que vous soyez le mieux informé possible. La couronne La couronne dentaire est une prothèse dentaire fixe et qui a la forme d’une dent. Elle se pose sur la dent originelle lorsqu’une dent est trop abîmée et qu’elle ne peut pas être restaurée par un soin dentaire classique. Elle a pour but de renforcer et de recouvrir une dent endommagée pour lui rendre son esthétisme, sa forme et bien sûr, sa fonction dans la bouche. Elle est le plus souvent en céramique ou en porcelaine car cette matière est très maniable et présente une couleur proche des véritables dents. La pose d'une couronne Le bridge Le bridge remplace une ou plusieurs dents perdues mais il a besoin de piliers. Il va donc utiliser deux dents avoisinantes qui seront retaillées afin de le fixer. Son inconvénient majeur est qu’il peut fragiliser les dents sur lesquelles il prend appui. Il est donc très courant d’avoir à les remplacer à long terme, augmentant ainsi la longueur du bridge. Schéma d'un bridge L’implant L’implant dentaire a pour but de remplacer une racine tombée ou qui a dû être enlevée. Il s’agit donc d’une racine artificielle une vis de forme droite ou conique qui va être fixée dans l’os de la mâchoire et sur laquelle on va poser une prothèse, généralement une couronne. L'implant dentaire une solution souvent envisagée Découvrez notre guide complet sur les prothèses sur implants en cliquant ici. Les prothèses sur implants En cas d'édentement partiel ou complet, la pose d'une prothèse sur implant peut apporter un confort supplémentaire au patient tout en lui permettant de retrouver un sourire esthétique et naturel. Il en existe plusieurs sortes, certaines fixes, d'autres amovibles et d'autres à mi-chemin. Evidemment, pour poser ce type de prothèses, il faudra d'abord poser des implants dentaires, ce qui requiert plusieurs étapes Le dentiste va d’abord ouvrir la mâchoire et placer l’implant. Durant plusieurs semaines, l’os va coloniser l’implant. Cela se nomme l’osteointégration. Il va ensuite placer la vis, prendre une empreinte dentaire et poser la prothèse sur les implants. Une fois la prothèse sur implants en place, votre dentiste devra vérifier ce que l’on appelle l’occlusion. Il s’agit du rapport entre la mâchoire du haut et celle du bas. Elle doit être confortable et pratique pour mastiquer. Si ce n’est pas le cas, votre dentiste peut limer votre prothèse. Une fois que tout est bon, il va sceller la prothèse fixe avec du ciment ou la clipser dans le cas d'une prothèse stabilisée sur implants. Vous trouverez davantage d'informations sur les prothèses sur implants dans notre article sur la réhabilitation complète. Les matériaux utilisés pour la fabrication des prothèses dentaires Plusieurs matériaux sont utilisés pour les prothèses Prothèse fixe bridges et couronnes en métal et en céramique et en titane ou en zircone pour l’implantProthèse amovible en résine compositeInlay/onlay en résine composite Le choix du matériau est important surtout d’un point de vue esthétique bien sûr mais également pour son coût. Pour une couronne par exemple, le chirurgien-dentiste peut vous faire un devis pour une couronne en métal moins chère et une couronne en céramique. Cette dernière est plus chère mais passera plus inaperçue quand vous sourirez. Prothèse dentaire prix et remboursement C’est la partie qui préoccupe toujours dès lors que l'on parle de couronne, bridge ou autres. Contrairement aux soins dentaires conservateurs, le tarif des prothèses dentaires est en effet fixé librement par les praticiens. Et bien qu'ils doivent le faire avec tact et mesure, ceux-ci sont généralement très élevés, et en tout cas, bien supérieurs au remboursement proposé par la Sécurité sociale. Depuis le 1er janvier 2020, le tarif de certaines prothèses dentaires est plafonné dans le cadre de la réforme “100% santé”. Les prothèses dentaires comprises dans le panier de soins “100% santé” seront par ailleurs entièrement remboursées par la Sécurité sociale et la mutuelle. Pour en savoir plus, n'hésitez pas à consulter notre article sur le sujet. Voici un tableau pour que vous ayez une idée précise du prix d'une prothèse dentaire mais également pour connaître la prise en charge de la prothèse par la Sécurité sociale et la mutuelle. ProthèsePrix moyenBase de remboursementPrix plafonnéCouronne zircone sur une dent autre qu’une molaireEntre 400 € et 1200 €120 €440 €Couronne céramique sur incisives, canines et premières prémolairesEntre 600 € et 1500 €120 €500 €Couronne métallique sur n'importe quelle dentEntre 350 € et 600 €120 €290 €Inlay-core avec ou sans clavette sans reste à charge »Entre 125 € et 300 €90 €175 €Bridge sur 2 dents piliers + 1 élément intermédiaire métallique pour remplacer une dent absenteEntre 900 € et 1 500 €279,50 €870 €Bridge sur 2 dents piliers + 1 élément intermédiaire céramométallique pour remplacer une dent absenteEntre 1300 € et 2000 €279,50 €1465 €Implant dentaireEntre 1250 € et 2350 €120 € seule la couronne est rembourséeDépend du matériau de la couronne Comme vous pouvez le constater, et comme c’est souvent le cas lorsqu’il s’agit des soins dentaires, la facture peut être élevée. Mais sachez que certaines mutuelles prennent en charge la partie non remboursée par la Sécurité sociale dans le cas des prothèses non comprises dans le panier 100% santé, et même la pose d'un implant. Vous pouvez utiliser le comparateur de mutuelles ci-dessous pour vérifier le montant pris en charge par différentes complémentaires du marché. Cela ne vous engage absolument à rien, c’est gratuit et ça vous donnera une idée du montant de remboursement de vos prothèses dentaires. Conclusion Perdre une ou plusieurs dents ne signifie plus forcément arborer un sourire édenté ! En fonction du nombre de dents manquantes, de l'emplacement mais également de l'état de la dentition restante, plusieurs types de prothèses dentaires peuvent en effet être utilisées pour permettre au patient de retrouver un sourire harmonieux. Si vous ne savez pas quel type de prothèse serait idéal pour vous, n'hésitez pas à demander conseil à votre dentiste. Prothèse dentaire les questions les plus posées Quels sont les types de prothèses dentaires ? Il existe des prothèses dentaires fixes et des prothèses dentaires amovibles. Dans chacune de ces catégories, il existe par ailleurs des prothèses complètes, comme par exemple le dentier ou le bridge complet, ou des prothèses partielles, comme un bridge partiel ou une stellite dentaire. En fonction de votre situation dentaire, votre dentiste pourra vous aiguiller afin de choisir la prothèse la mieux adaptée. Quel est le prix d'une prothèse dentaire ? Le prix d'une prothèse dentaire dépend de nombreux facteurs type de prothèse, nombre de dents remplacées, matériaux, etc. Une couronne en céramique coute généralement autour de 500€, tandis qu'un bridge de 3 unités est facturé, en moyenne, 1500€. Avant de démarrer vos soins, vous devrez de toute manière recevoir un devis de la part de votre dentiste et pourrez prendre le temps de comparer les tarifs de différents praticiens afin de choisir celui qui vous convient le mieux. Qu'est-ce qu'une prothèse dentaire fixe ? Comme son nom l'indique, une prothèse dentaire fixe est une prothèse dentaire qu'on ne peut pas enlever. C'est notamment le cas des couronnes dentaires, des bridges, mais aussi de certaines prothèses dentaires sur implants. L'avantage des prothèses dentaires fixes est qu'elles offrent un excellent confort de mastication et un résultat esthétique très proche des dents naturelles. Quelle est la meilleure prothèse dentaire ? Il est difficile de répondre à cette question car il faut avant tout que la prothèse soit adaptée à la situation particulière du patient. Par exemple, en cas d'édentement complet, les bridges complets sur implants offrent un confort en bouche et un résultat esthétique bien supérieur aux dentiers mais ils sont également bien plus chers. Dans le cas d'une seule dent à remplacer, une couronne sur implant est généralement préférée mais un bridge sur racines naturelles pourra également être envisagée si la racine est toujours présente. Prothèse dentaire comment remplacer une ou plusieurs dents ? 111 participant[s] Auteurs de l'articleRédactrice spécialisée dans les secteurs du dentaire et du bien être, Anaïs est également une experte en communication digitale. Sa Mission pour ? Aider à améliorer la santé bucco-dentaire de nos lecteurs en rendant l'information compréhensible et accessible à tous !
Lesadhésifs dentaires Fixodent (Pro) pour prothèses dentaires sont des dispositifs médicaux fabriqués par Procter & Gamble Technical Centres Ltd, UK et distribués par Procter & Gamble France.Ces dispositifs médicaux sont des produits de santé réglementés qui portent, au titre de cette réglementation, le marquage CE.
Lorsque le nombre, la valeur et la répartition des dents restantes ne permettent pas à la seule prothèse conjointe de restaurer l’esthétique et la fonction, ou lorsque la solution implantaire ne peut être retenue, la prothèse adjointe trouve son indication c’est dire qu’elle est de réalisation quotidienne, bien que redoutée des patients du fait de son amovibilité et de son encombrement. Ainsi sous l’impulsion de nombreux praticiens nous assisterons à l’évolution des différentes conceptions de la prothèse amovible partielle la prothèse à appui uniquement muqueux au début du siècle dont la base est aujourd’hui en résine acrylique , la prothèse squelettée en métal coulé, la prothèse décolletée… 2-HISTORIQUE Bien que les égyptiens, les phéniciens et les grecs semblent respectivement à l’origine du développement de l’art dentaire, il faut attendre l’époque romaine pour retrouver la notion de prothèse dentaire amovible ». Ni vestiges, ni écrits ont été retrouvés. Du moyen âge jusqu’au 19 ème siècle on assiste à une évolution de la finalité de la prothèse qui devient fonctionnelle et non plus seulement esthétique. Le 19 ème siècle voit surtout l’évolution des crochets, l’apparition d’occluseur et d’articulateur, l’apparition des dents en porcelaine, la mise au point de la vulcanite qui va devenir le matériau de choix pour la plaque-base ainsi que les plaques estampées en or. Les empreintes vont devenir de pratique courante. Au 20 ème siècle la technologie prend son essor et les matériaux nouveaux foisonnent. C’est l’ère de la coulée par le procédé de cire perdue. Le paralléliseur fait son apparition en 1918. La résine acrylique en 1934 par sa facilité d’emploi, sa légèreté, sa couleur naturelle va supplanter la vulcanite. Aux Etats-Unis, dès 1920, sous l’impulsion de praticiens Roach, Ackers, etc., des prothèses métalliques coulées sont proposées. Les infrastructures sont en or, puis en alliage stellite chrome-cobalt plus durs et moins coûteux. Cette prothèse dite squelettée » majore un appui dento-parodontal et vise à réduire au minimum les surfaces de contact avec les tissus ostéomuqueux. Dubecq et Rouot diffusent cette conception en France. L’emploi systématique de cette expression prothétique , en dehors d’indications clairement posées, conduit aussi à des échecs rupture des connexions, mobilisation des dents supports, résorption des crêtes gingivo-osseuses. Sous l’impulsion de Lentulo et de Housset dès 1930, l école de Paris fait une proposition d’inspiration biologique la prothèse décolletée. Elle est caractérisée par un tracé dégageant l’anneau gingival, tout en ménageant une large surface d’appui. La rigidité, le rétablissement de l’esthétique, les crochets à longs bras rupteurs d’efforts » constituent les impératifs à respecter. Néanmoins, l’absence quasi généralisée de butée occlusale s’opposant au déplacement vertical de la prothèse, engendre encore une action scoliodontique sur les dents restantes et un tassement des tissus mous conduisant à la résorption osseuse. De ces trois conceptions, aucune n’est pleinement satisfaisante, chacune entraîne un pourcentage d’échecs bien compréhensibles. Cette situation a fort heureusement suscité recherches et analyses cliniques et dans les dernières décennies, une philosophie s’est imposée non plus sous-entendue par des dogmes, mais étayée par des études expérimentales dont les conclusions sont authentifiées de manière constante par de bons résultats cliniques. C’est la PPAC moderne. 3-Définition du châssis métallique C’est la Partie de la prothèse amovible qui recouvre la surface d’appui gingivo-osseuse, la plaque base ou base réunit les différents constituants prothétiques. Elle assure la résistance mécanique de la prothèse, participe a sa sustentation et a sa stabilisation. On ne répétera jamais assez que le tracé de celui-ci doit être réalisé par le chirurgien dentiste lui-même, car il est le seul à posséder toutes les données indispensables pour le faire dans de bonnes conditions. Trop souvent le tracé est laissé au libre choix du prothésiste qui ne dispose pas de tous les éléments cliniques. 4-Eléments constitutifs d’un châssis métallique Les châssis sont coulés en une seule pièce. Lors de la fabrication, il est fondamental d’harmoniser tous les composants de la prothèse afin de réaliser un ensemble fonctionnel s’intégrant biologiquement à l’appareil manducateur, sans risque de traumatisme. Le châssis comporte les éléments suivants *les selles métalliques *les connexions primaires reliant les selles à la poutre maîtresse ou secondaires *des appuis dentaires directs sous la forme de crochets individuels coulés et quelques fois des appuis dentaires indirectes occlusaux ou cingulaires 4-1-Le choix de conception des selles prothétiques a- Définition La selle prothétique se compose d’une grille métallique espacée de la muqueuse noyée dans de la résine acrylique qui forme la fausse gencive et qui s’appuie sur la crête et la recouvre. Elles interviennent respectivement - comme support des dents prothétiques, - dans l’esthétique en recréant par exemple un volume de crête au niveau antérieur maxillaire, - dans la sustentation de la prothèse surtout dans les édentements ouverts postérieurement, - dans la stabilisation de la prothèse, - dans la rétention indirecte de la prothèse à deux niveaux grâce à l’adhésion au tissu sous-jacent et grâce à l’appui des muscles des lèvres, des joues, de la langue. b- Principes de conception des selles *Premier principe Dans tous les cas d’édentement ouvert postérieurement nous choisirons d’augmenter au maximum la surface de recouvrement des scelles. *Second principe Dans tous les cas d’édentement encastrés il faudra déterminer si son étendue impose un recouvrement maximal ou si au contraire l’approche esthétique limite le recouvrement du rebord alvéolaire vestibulaire. *Troisième principe Dans tous les cas où le support ostéo-muqueux est recherché, il faut diminuer la surface dentaire prothétique de façon à ce que le tiers postérieur de la selle soit libre. Parallèlement, le recouvrement ostéo-muqueux sera maximal. Nous procéderons soit en ne remplaçant pas la deuxième molaire soit en utilisant des dents à diamètre mésio-distal plus petit. c- Les composantes des selles Les grilles de rétention Leurs étendue correspond à la surface dentaire occlusale prothétique. Leurs limites proximales sont parallèles et de 1 à 2 mm des faces proximales des dents bordant le secteur édenté. Dans les cas d’édentement ouvert postérieurement, elles s’étendent jusqu’à la partie postérieure de la tubérosité au maxillaire et sur les 3/4 de la longueur de la crête édentée à la mandibule. De plus elles présenteront une poutre de renfort centrale. La jonction avec la connexion principale se fait selon une ligne d’arrêt afin d’assurer une transition douce entre métal et résine. La fausse gencive Son étendue, ses limites dépendent de sa localisation et des facteurs déjà cités. Ses limites antérieures et postérieures seront verticales et affinées. Volets linguaux A la mandibule, le volet lingual s’étend jusqu’au fond du sillon gingivo-lingual déterminé par le soulèvement du plancher. Au maxillaire, la selle recouvre le versant palatin de la crête et se prolonge par 1′élément de connexion d- Extension postérieure Une selle en extension distale recouvre le trigone mandibulaire, ou englobe largement la tubérosité maxillaire, à la manière d’une prothèse complète. e- Matériaux - Une selle prothétique est essentiellement constitue de résine acrylique qui imite au mieux la gencive, est stable en bouche, présente une bonne tolérance biologique et dont la mise en oeuvre et les modifications est facile. Cette résine est retenue par une portion du châssis. Celle-ci prolonge 1′element de connexion, se situe à distance de la crête pour être englobée par la résine et prend souvent 1′aspect d’un grillage. Le châssis est coulé dans un alliage compatible avec 1′utilisation buccale et possédant les qualités requises absence de toxicité, résistance à la corrosion, dureté ne dépassent pas celle de 1′émail, faible densité, grande ténacité, limite élastique et module d’élasticité élevés. Aujourd’hui, les qualités des alliages cobalt chrome les font préférer aux alliages d’or de type IV sauf peut-être pour les crochets. 4-2-L’élément de connexion Reliant les selles, l’élément métallique de connexion doit assurer la rigidité de la plaque base. a- Principe L’élément de connexion principal devra respecter les principes fondamentaux suivant -être réalisé en un matériau biocompatible impératif de bio-intégration, -être rigide et résistant afin de permettre une distribution équilibrée des contraintes fonctionnelles entre les piliers et les segments édentés impératifs de rigidité et de résistance, -respecter si possible le décolletage des dents résiduelles -ne pas nuire, c’est à dire ne pas blesser lors de l’insertion et de la désinsertion de la prothèse ou lors de la fonction ; respecter les tissus impératifs d’intégration, -être le plus confortable possible, léger, non poreux, d’un entretien aisé ; les surcontours devront être éliminés afin d’éviter les rétentions alimentaires impératifs de confort du patient, -épouser fidèlement et durablement les structures d’appui choisies, tout en protégeant l’anneau gingival et en respectant le principe de décolletage impératif de respect des structures d’appui, -favoriser l’équilibre des selles à l’arcade maxillaire, les selles doivent toujours être débordées par le profil de la poutre maîtresse. Autrement dit, la limite postérieure de la poutre maîtresse sera plus distale que la plus distale des dents prothétiques. De même la limite antérieure de celle-ci sera plus mésiale que la plus mésiale des dents prothétiques. C’est le principe d’équilibre des selles, -veiller à une répartition symétrique des appuis pour une architecture équilibrée et élégante. b- Différentes formes • Au maxillaire Relief de la voûte palatine, confort du patient, type et étendue de l’édentement interviennent dans le choix entre les différentes formes cliniques. • Entretoise palatine Barre allongée frontalement, de section demi-jonc 7 mm de large, 3 mm d’épaisseur au centre, 1′entretoise est située de façon à ne pas être perdue par le dos de la langue. Espacée du raphé, et traversant les zones de Schroder, elle ne peut jouer qu’un rôle médiocre dans la sustentation. On lui adjoint donc souvent des ailettes qui améliorent sustentation et stabilisation. Larges de 5 à 6 mm, respectant le décolletage, les ailettes antérieures se terminent entre deux papilles palatines, afin de ne pas exercer d’action sécante. Les ailettes postérieures constituent souvent la potence d’un crochet. Dégageant la partie antérieure du palais, cette forme de prothèse ne perturbe pas 1′elocution . Elle est indiquée pour les Cl. III de moyenne étendue. Les palais ogivaux et les torus palatins peuvent la contre-indiquer ; . Les édentements antérieurs nécessitent évidemment une prothèse se prolongeant dans le secteur antérieur ; . Les édentements distaux réclament une prothèse dont le centre de gravite soit plus antérieur, pour limiter les risques de décollement postérieur. Entretoise palatine. • Cadre palatin Très rigide, il permet en outre de restaurer des édentements antérieurs et latéraux éloignes créneaux, et peut aussi être utilise dans les Classes IV de petite étendue, et parfois dans les Classes II. Cadre édentement en créneaux. Cependant, certains patients se plaignent de ressentir désagréablement la présence de nombreux creux et bosses ». • Plaque palatine Plus ou moins étendue vers 1′arrière, elle assure une bonne sustentation dans la région antérieure du palais, peu dépressible. Pour être rigide, elle doit utiliser trois plans. Elle requiert une certaine période d’adaptation, car elle est ressentie par la langue un extrados granite permet une meilleur appui lingual pendant 1′elocution. Cadre classe IV de moyenne étendue Cadre ou plaque classe II modifiée latéralement. Dégageant la partie postérieure du palais, elle est moins visible lors de 1′eclat de rire que les formes précédentes ; elle déplace vers 1′avant le centre de gravite et évite, en synergie avec la barre cingulaire, le décollement postérieur d’une prothèse restaurant une Classe I, principale indication . Elle est choisie en présence d’un torus. Plaque palatine classe I. Plaque palatine torus palatinus. Plaque palatine classe IV étendue. • A la mandibule En raison des conditions anatomiques, l’élément de connexion longe la table interne antérieure, dont la hauteur détermine la forme clinique indépendante de 1′edentement. 1. Barre linguale Elle ne recouvre pas les anneaux gingivaux, et doit donc être choisie chaque fois que possible. - Les dimensions de son profil en goutte d’eau » ne doivent pas être inférieures à 3 mm de haut et 2 mm d’épaisseur. - Sa longueur, qui correspond à celle de 1′arcade dentaire restante, peut rendre insuffisante sa rigidité. On lui adjoint alors une barre cingulaire. - Situation . Son niveau doit être étudie avec précision en fonction du développement du frein lingual et du soulèvement du plancher. Une erreur peut entraîner la réfection de la prothèse, car une retouche diminuerait les dimensions, donc la rigidité de la barre. L’empreinte étant souvent compressive dans cette région, la hauteur de table interne disponible est appréciée cliniquement, à 1′aide d’une sonde parodontale et dent par dent, pendant que le patient mobilise sa langue. La barre se situe 1 mm au-dessus du niveau repéré ; le décolletage ne peut jamais atteindre 5 mm. Pour éviter toute action nocive, la barre est construite à distance de la table interne décharge sur le modèle. Barre linguaIe 2. Bandeau lingual En cas de récession gingivale associée à une insertion linguale haute, la barre se situerait en regard de la gencive marginale. Le bandeau trouve alors son indication cette plaque, qui peut être considérée comme la réunion des barres linguale et cingulaire, est déchargée aux niveaux muqueux et cémentaire, et ne prend appui que sur le cingulum des dents. Recouvrant la gencive marginale, le bandeau présente des inconvénients pour la santé parodontale. 3. Barre cingulo-coronaire Elément inconstant du châssis, elle chemine sur le cingulum des dents antérieures barre cingulaire et sur la zone en dépouille des faces linguales des molaires et prémolaires barre coronaire. Prothèse en extension distale avec barre cingulaire pas de décollement postérieur 5-Réalisation châssis métallique au laboratoire La réalisation du châssis au laboratoire comprend les étapes suivantes -la réalisation d’un modèle de travail, issu de l’empreinte définitive, -la préparation d’un duplicata du modèle de travail, -la préparation du modèle, -réalisation d’un duplicata en revêtement, -construction d’une maquette du châssis de la future prothèse, -la mise en revêtement de cette maquette, -la coulée du châssis métallique. 5-1-Réalisation du modèle de travail La réalisation du modèle de travail, à partir de l’empreinte définitive, est le plus souvent et le plus judicieusement conduite par le chirurgien-dentiste. Elle doit l’être d’une façon impérative, toutes les fois où l’empreinte aura été obtenue avec un hydrocolloide ou avec un élastomère de stabilité douteuse. Pour NALLY et BACHMAN, une empreinte aux alginates peut être coulée une heure ou deux heures après le retrait afin de permettre la libération de tensions internes. Dans ce cas, l’empreinte doit être conservée dans un hygrophore. L’empreinte sera toujours coulée en double exemplaire -un modèle destiné à la conception, -un modèle destiné à la réalisation, ou modèle de travail. Cette précaution permet de préserver l’original de toute altération au cours des manipulations nombreuses de laboratoire. Lorsque le matériau à empreinte est altéré après le retrait du premier modèle, un duplicata doit être obtenu à l’aide d’une gélatine. 5-2-Préparation d’un duplicata du modèle de travail L’hydrocolloide réversible est placé dans un réchauffeur du type Gelovit» muni d’un thermostat réglé à 45° environ. De nombreux moufles pour duplicata sont proposes à la profession. Parmi eux il convient de citer les moufles transparents mis au point par HERBST et les moufles classiques métalliques. Le docteur N. G. WILLS a également mis au point un moufle cylindrique comportant une nourrice centrale. Celle-ci constitue en outre, un réservoir de gélatine chaude, destinée à compenser la contraction par refroidissement de la gélatine en contact avec le plâtre. Le modèle doit être immergé pendant 10 mn dans de l’eau tiède avant d’être placé sur le socle du moufle. Pour MAC CRACKEN, l’eau utilisée doit être saturée de sulfate de calcium, afin de ne pas provoquer de réaction chimique à la surface du modèle à hydrater. Cet auteur conseille de laisser à demeure, des fragments de plâtre dans le bac prévu à cet effet. Après retrait, le modèle est séché à l’air comprimé. Il est placé sur le socle du moufle. Celui-ci est mis en place. La gélatine fluide est coulée dans le moufle jusqu’a ce qu’elle apparaisse dans les perforations supérieures. Pour le docteur WILLS, une nourrice est alors fixée sur l’orifice d’admission. Cette nourrice est remplie d’un supplément d’hydrocolloide réversible fluide. Afin d’éviter toute distorsion ou contraction du matériau de duplication », il est préférable de ne pas accélérer la gélification. Celle-ci s’effectuera lentement, à l’air libre. Après refroidissement intégral de l’ensemble, le socle est éliminé, le modèle est retiré avec précaution. II est possible, alors, de préparer un plâtre pierre, du type Whip Mix ou Velmix, et de le couler dans l’empreinte ainsi obtenue. 5-3-Préparation du modèle La préparation du modèle doit comporter en outre, et successivement les corrections suivantes -élimination systématique des zones rétentives n’ayant aucune incidence dans le tracé de la plaque ou des crochets, -suppression des zones de contre-depouille risquant de s’opposer au retrait du modèle de son empreinte dans l’hydrocolloide réversible ou gélatine utilisée, -élimination de toute arête ou irrégularité risquant d’altérer la qualité la précision de l’empreinte, -créer des épaulements de 0,5 mm sur les dents support de crochet au niveau de la limite rigoureuse du tracé du futur crochet, -décharger les zones incompressibles telles que torus mandibulaire ou palatin, suture intermaxillaire saillante, -prévoir au niveau de la barre linguale un espacement suffisant en fixant une cire calibrée dans la région correspondante, -protéger l’anneau gingival devant être recouvert partiellement ou totalement, par une potence, par une rétention indirecte, ou par une base prothétique pleine, -ménager un espacement suffisant, au niveau des segments édentés par une feuille de cire de 1 mm à 1,5 mm d’épaisseur, afin que la grille disposée au- dessus des lignes faîtières permette la réalisation de selles en résine acrylique et leur rebasage périodique. En résumé, toutes les zones de contre-depouille sont éliminées à l’exclusion de celles réservées aux chefs rétentifs des futurs crochets. Le tracé de ces derniers est préservé, grâce à l’épaulement limitant leur contour cervical. 5-4Préparation et coulée du modèle en matériau réfractaire Cette préparation peut être divisée en deux étapes -empreinte du modèle corrigé avec hydrocolloide réversible, -coulée d’un modèle en matériau réfractaire. Empreinte du modèle corrigé avec hyrocolloide réversible. Signalons cependant, que son succès dépend de certains facteurs -préparation de l’hydrocolloide 2 parties d’hydrocolloide pour 3 parties I’eau, -maintien de sa température à un degré correct, inférieur à celui des cires corrigeant le modèle de travail 45° environ, -brassage du mélange en cours de fusion, -renouvellement fréquent de l’hydrocolloide afin d’en conserver toutes les qualités fondamentales de précision et de fidélité, -hydratation périodique de l’hydrocolloide ayant tendance à se déshydrater progressivement, -hydratation du modèle dans une eau tiède, 25 à 30 mn afin d’éviter toute bulle intempestive au moment de l’empreinte, -refroidissement lent et total de l’empreinte, -retrait vertical du modèle avec un dispositif à succion -examen de la qualité de la reproduction et reprise éventuelle d’une nouvelle empreinte si la moindre défaillance est relevée dans la fidélité de la reproduction des surfaces essentielles du modèle, -des réservoirs à gélatine, perfectionnés, du type Gelovit », possédant malaxeur, réchauffeur et thermostat et rendant les manipulations plus faciles. Coulée du modèle en matériau réfractaire. Le matériau réfractaire peut être soit -un revêtement à l’eau, du type hydrovest de Whip Mix ou Cristo-balite de KERR. -un revêtement au silicate d’éthyle. La préparation diffère avec le matériau. Il importe de ne pas improviser, mais de respecter strictement les indications du fabricant de revêtement. Le revêtement pourra être mélangé sous vide. Le moufle est placé dans un humidificateur. Après cristallisation du matériau, l’hydrocolloide ou gélatine est éliminé et récupéré. Le modèle est disposé dans un four à déshydrater. La température initiale est la température ambiante. Elle croit lentement, jusqu’a 120°c, pour y demeurer pendant 30 minutes. Le tracé déjà adopté sur le modèle de travail sera reproduit sur le modèle en revêtement ainsi préparé. 11 s’effectuera avec un crayon mou. Un orifice prévu pour la coulée est pratiqué au centre du modèle. Un durcisseur superficiel doit être utilisé afin de pouvoir manipuler ce dernier sans risquer d’en altérer l’intégrité, pendant la réalisation de la maquette de la future prothèse. Apres immersion dans un durcisseur pendant quelques minutes, le modèle doit être séché de nouveau dans un four. Le durcisseur peut également être projeté sous forme de spray » avec un vaporisateur particulier model spray » de JELENKO, permettant de déposer une couche extrêmement fine et régulière du produit. 5-5-Le modelage de la maquette en cire Pour mémoire, autrefois, la cire bleue à inlay était appliquée sur le modèle en revêtement puis sculptée en essayant de reproduire au mieux le dessin initial. Cette technique empirique n’est plus utilisée de nos jours. Le modelage doit intervenir alors que le matériau réfractaire est encore suffisamment chaud. Les éléments préformés utilisés, peuvent ainsi adhérer et se mettre en place sans difficulté. Ces éléments, appelés plus simplement préformes » sont fabriqués et commercia1isés en cire ou en matière plastique. De nos jours, ces derniers semblent dominer et remplacer progressivement les précédents. Selon MAC CRACKEN cependant, les préformes » en cire et le travail du technicien sont deux éléments de réussite plus valables que les préformes » en matière plastique souvent mal utilisées. Suivant les segments de la maquette à réaliser, le technicien utilisera, soit des plaques lisses ou granités, soit des barres de connexion, soit des grilles de rétention, soit enfin les bras de crochets et les crochets indiqués. La variété de ces préformes » est telle, que toutes les combinaisons sont possibles. Il convient de raccorder ensuite, intelligemment, avec de la cire, tous les segments de maquette ainsi mis en place Fig. 897 a 901. Il est impératif cependant, de ne pas modifier ou corriger souvent, la mise en place de ces préformes ». Une dégradation irrémédiable du modèle en revêtement peut rapidement intervenir. Les tiges de coulée, ou nourrices, seront aussi peu nombreuses et aussi courtes que possible. Le diamètre de la tige sera plus important que la partie la plus épaisse de la maquette, afin que le métal en fusion dans la nourrice, soit le dernier à se solidifier, c’est à ce niveau que se formeront les bulles et les porosités. Ces tiges placées sur les parties les plus épaisses des prothèses et de préférence au voisinage des crochets convergeront vers le cone de coulée placé au centre du modèle en matériau réfractaire. Elles se fondent en une tige principale qui sera reliée au cone de coulée et constituera le creuset de fusion. Si un bras de crochet doit être réalisé en fil étiré, ajusté, il convient de le former au préalable sur le modèle en plâtre dur, de le couper à la bonne dimension et de l’inclure en position correcte dans la maquette sur le modèle en revêtement. La base du modèle est alors réduite en hauteur. Celui-ci est immergé pendant IO mn dans de l’eau à la température ambiante, afin d’éliminer toute bulle d’air. 5-6-Mise en revêtement de la maquette La maquette est alors prête pour la mise en revêtement. Elle est d’abord immergée pendant 15 mn dans l’eau à température du laboratoire pour éviter la formation de bulles. Le plus souvent, on utilise le même revêtement que pour le modèle en le Mélangeant dans les mêmes proportions, le matériau de revêtement est préparé. Avec un pinceau, toute la surface de la maquette est soigneusement enduite Fig. 904 et la mise en revêtement dans le cylindre est alors complétée et vibrée de la façon habituelle. 5-7-Coulée du châssis métallique -Choix du métal A ce jour, la quasi totalité des châssis de prothèses amovibles est réalisée par des procédés de coulée à cire perdue, en alliages cobalt-chrome et nickel-chrome. Ces alliages se sont imposés dans cette discipline pour diverses raisons - leur excellente coulabilité favorise une mise en forme précise par les méthodes traditionnelles des laboratoires de prothèse, - leurs caractéristiques mécaniques allient une importante rigidité à un faible allongement à la rupture, - leur biocompatibilité est jugée suffisante pour un usage en milieu buccal, - leur aptitude à la finition qui favorise l’éclat flatteur associé à leur dénomination de stellite », - enfin le prix de revient des pièces fabriquées est compatible avec les exigences économiques actuelles. Chimiquement se sont essentiellement des alliages à base de cobalt soit ternaires chrome-cobalt » molybdène alliages classiques, soit quaternaires chrome-cobalt-nickel » molybdène alliages récents auxquels sont ajoutés, en faible quantité, différents éléments afin d’en modifier les propriétés. Après cristallisation du revêtement et retrait du cylindre, celui-ci est placé dans un four, le cone de coulée dirige vers le bas. Un pré-réchauffage permet I’élimination de la maquette et des tiges de coulée. La température s’élève progressivement jusqu’a 600° et elle est maintenue constante pendant une heure environ. Dans le cas de maquette très importante, le temps à 600° est augmenté jusqu’à une heure et demie. La température est ensuite passée à 1200 pendant une heure. La coulée du métal peut s’effectuer soit avec un systeme de fusion à induction, soit avec un chalumeau oxyacétylénique. Dans le cas de chauffage électrique par induction, les lingots de métal sont placés dans un creuset spécifique de la fronde utilisée. L’inducteur est placé en position haute Fig. 911 ; il entoure à ce moment le creuset. Le métal rougit et dès qu’apparaissent en surface quelques points noirs, le cylindre est rapidement mis en place dans la fronde, sur un berceau autocentreur. Le démarrage du bras rotatif de coulée du métal s’effectue automatiquement, dès que l’on abaisse l’inducteur de chauffage. Dans le cas d’utilisation d’un chalumeau oxyacétylénique, il convient de fondre le métal en 30 ou 40 secondes sans jamais chercher à détruire la couche protectrice du métal en fusion. Les cylindres sont laissés à l’air libre, jusqu’à refroidissement complet. Le revêtement est éliminé. 5-8-Finition du châssis métallique La pièce est sablée, de préférence avec un procédé utilisant des abrasifs en so1ution chimique aqueuse du type Vapor blast ». Deux postes sont nécessaires -dans le premier un mélange de sable et d’eau élimine la totalité du revêtement. -dans le deuxième poste, un mélange d’eau et de microbilles ou bright shot» complète le nettoyage du métal et la renforce. Les billes projetées agissent à la façon de minuscules marteaux arrondis sur les cristaux superficiels du métal. L’étanchéité et l’absence de poussière constituent des avantages inappréciables, d’une technique de sablage déjà répandue dans l’industrie aéronautique. Les surfaces ainsi traitées sont caractérisées par un aspect satiné. Les tiges de coulée sont alors supprimées. La surface externe de la pièce métallique est dégrossie et ébarbée avec des meulettes et pointes montées, blanches puis rouges, judicieusement choisies. Les meulettes et pointes en caoutchouc complètent le travail Fig. 917. Le polissage électrolytique ne doit pas être sous-estimé. 1l sera utilisé systématiquement, en prenant soin cependant, de combler toutes les porosités éventuelles avant immersion de la pièce. La pièce coulée est suspendue au niveau de l’anode. L’intensité du courant nécessaire pour une plaque est de deux ampères pendant 5 mn. La pièce est soigneusement rincée, puis remise pendant 5 mn dans le bain de polissage électrolytique. La température de l’électrolyte doit être comprise entre 18 et 20 degrés. Apres rinçage à l’eau, le polissage final peut intervenir, jusqu’a obtention d’une surface généralement brillante autant de l’extrados que de l’intrados du châssis métallique de la future prothèse. Le modèle en plâtre est ébouillanté afin d’éliminer toutes les cires ayant servi à la préparation de la plaque. Celle-ci doit alors s’insérer parfaitement SANS RETOUCHES sur le modèle. Tel est l’aboutissement de toutes les étapes de la construction du châssis métallique, si toutes ces phases ont été conduites avec une parfaite rigueur. Les défauts des coulées prothétiques sont de trois ordres -défauts de structure, -défauts micro-géometriques rugosités, -défauts macro-géometriques porosités, coulée insuffisante, ébarbures. Défauts de structure Ces défauts sont consécutifs à un manque de rigueur, voire à des erreurs lors de la préparation du modèle de la mise en revêtement, de la chauffe du cylindre, de la coulée et en fin du démoulage. Ils sont souvent dus à une méconnaissance du matériau et au refus de respecter les indications du fabricant. Les défauts micro-géométriques la rugosité La rugosité est l’ensemble des micro-irregularités de la surface métallique. La plaque prothétique ne doit jamais être rugueuse, ses déplacements aussi minimes soient-ils créent un effet de râpe » sur les muqueuses accentuant le déficit tissulaire. Les bavures ou les rugosités sont dues aux malfaçons suivantes -modelage trop épais, malpropre ou mal fini, -préparation exécutée sur un modèle en revêtement à granulosité importante. Cette erreur se traduit par des pièces rugueuses si l’on ne prend pas la précaution d’enduire ce modèle d’un revêtement spécial réfractaire d’une grande finesse. Le modèle de revêtement ainsi enrobé est ensuite mis en cylindre. Celui-ci doit être d’excellente qualité, sans fêlures. La mise en revêtement dans le cylindre doit être faite selon les données du fabriquant, les contacts accidentels entre le plâtre et le revêtement seront toujours évités, Imperfections de la coulée si la température du four est trop élevée il se produit des fissures dans le revêtement. Ces fissures seront comblées par du métal lors de la coulée. Enfin la vitesse de rotation excessive de la fronde aboutit à des modifications irrégulières de la surface des pièces coulées. 6-Conclusion La restauration prothétique amovible d’une édentation partielle a longtemps été sous-estimée. Elle a plus souvent été comprise par le patient et conçue par son praticien comme une prothèse transitoire, destinée à assurer l’acheminement inéluctable vers l’édentation totale. En réalité, elle constitue le traitement prothétique le plus complexe, le plus difficile,mais le plus fiable. Elle nécessite une connaissance parfaite de l’anatomie, de la physiologie, de l’histologie, et de toutes les notions fondamentales de la prothèse amovible.
Cependant le perpétuel remaniement des structures support, fait de la prothèse amovible une prothèse d’usage non définitive, et impose la mise en place d’un programme de suivi prothétique, soutenu par le consentement engagé du patient. Ces éléments semblent être les piliers principaux de la pérennité des résultats.
La prothèse amovible Prothèses amovibles partielles Une prothèse amovible partielle remplace les dents manquantes, elle est dite partielle quand des dents persistent sur les arcades dentaires et qu’en conséquence elle ne remplace pas toutes les dents. Elle peut être insérée ou retirée à volonté. Les prothèses partielles entièrement en résine Grâce à une empreinte réalisée au cabinet, le prothésiste réalise une plaque en résine rose, dans laquelle sont intégrées des dents artificielles. Des crochets sont positionnés de façon stratégique au niveau de la prothèse pour la stabiliser et la retenir pendant la mastication et l’élocution. L’appareil s’appuie uniquement sur les gencives. Ces prothèses en résine sont faciles et rapides à réaliser. Elles sont également peu onéreuses et sont aujourd'hui considérées comme des prothèses transitoires. Les prothèses partielles à châssis métallique ou stellite Ce sont des appareils plus élaborés, qui permettent de mieux préserver la gencive et les dents restantes. En général, deux empreintes successives sont nécessaires, à l’issue desquelles le prothésiste réalise une armature métallique. Elle s’apparente à un squelette qui sert d’échafaudage pour le soutien de la résine rose et des dents artificielles. Grâce au châssis métallique, ces prothèses peuvent s’appuyer non seulement sur la gencive mais aussi sur les dents, ce qui répartit mieux les forces. Les dents naturelles restantes, en contact avec les crochets, peuvent être légèrement préparées pour stabiliser l’appareil, voir couronnées si elles sont fragiles. Les prothèses amovibles complètes La réalisation des prothèses amovibles complètes nécessite une succession d’étapes d’une grande précision. En effet, deux empreintes ou plus sont nécessaires pour enregistrer de façon très précise la position de la gencive, de la langue, des lèvres et des joues. Les prothèses amovibles complètes permettent de remplacer l’ensemble des dents sur une mâchoire. Elles peuvent être insérées et enlevées à volonté. Si la surface de contact entre la prothèse et la gencive n’est pas suffisante, ou si la salive vient à manquer, on peut stabiliser la prothèse à l’aide de boutons-pression placés sur des implants. Lorsque l’on porte une prothèse amovible complète pour la première fois, il faut prévoir une période d’adaptation, notamment pour s’alimenter. Dans les semaines qui suivent la pose de la prothèse, de nombreux réglages peuvent être nécessaires afin de parfaire sa morphologie et d’assurer un confort optimum. Avec le temps, il est possible que l’os et la gencive de la mâchoire s’affaissent et entraînent une perte de stabilité de la prothèse. On remédie à cette situation en réalisant un rebasage », qui permettra de combler les espaces libres entre la prothèse et la gencive.
- Аςևсеσуլω срохишиጢищ
- Уሸըβιցа γօгипра кէпαթሹнецо
- Гուвс хօбе
Lunivers de la production de prothèse au sein du cabinet s’est donc à son tour ouvert, proposant un décloisonnement total des flux de travail aux praticiens et prothésistes. Au gré des situations cliniques, le praticien peut aujourd’hui choisir de produire lui-même sa prothèse, déléguer à son laboratoire lorsque cela le nécessite voire même sur un même
HBLD022pose 1proth. transit résine 9à 13dents HBLD024pose 1dentier amovible résine 9à 13dents HBLD025pose 1proth. transit résine 5à 8dents HBLD026pose 1dentier amovible à chassis métal 1à 4dents HBLD027pose 1dentier amovible à chassis métal 5à 8dents HBLD028pose 1proth. transit résine 1à 4dents HBLD029pose 1dentier amovible à chassis métal 9à 13dents HBLD031Prothèse amovible résine définitive complète unimaxillaire HBLD032Prothèse amovible résine transitoire complète unimaxillaire HBLD035Prothèse amovible résine définitive complète bimaxillaire HBLD039pose 1proth. amovible 3à 10dents mixte/incomplet HBLD046Prothèse amovible définitive métal complète bimaxillaire HBLD047Prothèse amovible définitive métal complète unimaxillaire HBLD048Prothèse amovible définitive complète bimaxillaire métal et résine HBLD075Prothèse amovible définitive métal 7 dents HBLD079Prothèse amovible définitive métal 10 dents HBLD083Prothèse amovible résine définitive 11 dents HBLD101Prothèse amovible résine définitive 9 dents HBLD112Prothèse amovible définitive métal 12 dents HBLD118Prothèse amovible résine complète supra-implantaire unimaxillaire HBLD123Prothèse amovible résine transitoire 7 dents HBLD131Prothèse amovible définitive métal 1 à 3 dents HBLD132Prothèse amovible résine supra-implantaire de moins de 9 dents HBLD138Prothèse amovible résine définitive 10 dents HBLD148Prothèse amovible résine transitoire 9 dents HBLD171Prothèse amovible métal complète supra-implantaire bimaxillaire HBLD199Prothèse amovible résine complète supra-implantaire bimaxillaire HBLD203Prothèse amovible définitive métal 11 dents HBLD215Prothèse amovible résine transitoire 11 dents HBLD217Prothèse amovible métal complète supra-implantaire unimaxillaire HBLD224Prothèse amovible résine transitoire 5 dents HBLD231Prothèse amovible résine transitoire 10 dents HBLD232Prothèse amovible résine transitoire 13 dents HBLD236Prothèse amovible métal supra-implantaire de moins de 9 à 13 dents HBLD240Prothèse amovible métal supra-implantaire de moins de 9 dents HBLD259PROTHÈSE AMOVIBLE TRANSITION COMPLÈTE BIMAXILLAIRE RÉSINE HBLD262Prothèse amovible résine transitoire 12 dents HBLD270Prothèse amovible résine transitoire 8 dents HBLD308Prothèse amovible définitive métal 13 dents HBLD332Prothèse amovible définitive métal 4 dents HBLD349Prothèse amovible résine définitive 13 dents HBLD364Prothèse amovible résine transitoire 1 à 3 dents HBLD370Prothèse amovible résine définitive 12 dents HBLD371Prothèse amovible résine transitoire 6 dents HBLD435Prothèse amovible définitive métal 9 dents HBLD452Prothèse amovible définitive métal 5 dents HBLD470Prothèse amovible définitive métal 8 dents HBLD474Prothèse amovible définitive métal 6 dents HBLD476Prothèse amovible résine transitoire 4 dents HBLD492Prothèse amovible résine supra-implantaire de moins de 9 à 13 dents
Realisationdu chassis au laboratoire 1. realisation du chassis au laboratoir Lorsque le nombre, la valeur et la répartition des dents restantes ne permettent pas à la seule prothèse conjointe de restaurer l’esthétique et la fonction, ou lorsque la solution implantaire ne peut être retenue, la prothèse adjointe trouve son indication : c’est dire qu’elle est de
01. ProthèsesLa prothèse fixe La couronne Lorsqu’une dent est délabrée de façon trop étendue, il n’est pas possible de réaliser un soin classique qui risquerait de se décoller, de casser, ou d’abîmer davantage la dent résiduelle. Pour garantir le maintien de la dent sur l’arcade, le praticien procèdera à la pose d’une couronne sur la dent vivante ou dévitalisée. Une couronne est une prothèse fixe réalisée au laboratoire qui reconstitue de façon durable la forme, la fonction et l’esthétique d’une dent. Le bridge Un bridge permet de remplacer une ou plusieurs dents absentes en venant s’appuyer sur les dents présentes de part et d’autre. Le principe est le même que pour une couronne classique seule, l’élément est scellé par un ciment sur les dents piliers et est donc fixe. Le bridge collé Lorsque les dents adjacentes ne nécessitent pas d’être couronnées car elles ne présentent qu’un petit soin, il est possible de les préparer à minima pour servir de support à un bridge collé. Il est constitué d’une dent en céramique ou métallique présentant de part et d’autre deux petites ailettes qui viendront se coller sur les dents adjacentes. Un laboratoire de prothèses dentaires d’excellence basé dans les Ardennes, soigneusement sélectionné par le Dr PLUTA Matthieu, aura la charge de réaliser vos prothèses dentaires sur mesure. La prothèse amovible En l’absence d’une ou plusieurs dents, le praticien pourra vous proposer une solution amovible. Grâce à une empreinte réalisée au fauteuil, le prothésiste réalisera une prothèse amovible entièrement en résine rose ou avec un châssis métallique stellite, constituée de dents en résine blanche et de crochets stratégiquement placés pour assurer la rétention et la stabilisation de la prothèse. Les crochets peuvent être réalisés avec des matériaux plus esthétiques qui se rapprochent de la teinte des dents supports. Les crochets peuvent être remplacés par des systèmes de fixation sorte de bouton pression appelé attachement. La prothèse vient alors se clipper. Dans le cas de prothèses amovibles complètes remplaçant la totalité des dents supérieures et/ou inférieures, des étapes supplémentaires seront nécessaires afin d’assurer une grande précision dans leur réalisation. Dans le cas où l’appareil a du mal à être stabilisé en raison d’une quantité de salive trop faible, ou d’une surface de contact prothèse-gencive trop faible, …, on pourra y ajouter des boutons pression qui viendront se fixer sur des implants. Les prothèses amovibles sont rapides à réaliser et moins onéreuses que des solutions fixes. Lorsque l’on porte une prothèse amovible pour la première fois, une période d’adaptation sera nécessaire et des ajustements seront parfois à prévoir. Dans tous les cas, le praticien sera là pour vous apporter une solution rapide. Un laboratoire de prothèses dentaires d’excellence basé dans les Ardennes, soigneusement sélectionné par le Dr PLUTA Matthieu, aura la charge de réaliser vos prothèses dentaires sur PréventionPour diminuer le risque d’avoir des caries, il est nécessaire de se brosser les dents deux à trois fois par jour, et dans l’idéal après chaque repas ou consommation de sucres ou d’acides. Le brossage va aider à maintenir les dents saines et à diminuer la quantité de plaque dentaire. Il est nécessaire d’avoir une méthode de brossage rigoureuse pour n’oublier aucune zone. Le choix de la brosse à dent est important. Qu’elle soit manuelle ou électrique, il faut privilégier les brosses à dent souples, dont les poils fins passent plus facilement dans les petits espaces, diminuent l’abrasion de l’émail et réduisent le risque de récessions parodontales. En complément du brossage, il est indispensable de passer le fil dentaire ou des brossettes interdentaires, au minimum une fois par jour, entre chaque dent. En effet, ce sont des zones ou même une brosse à dent souple ne passera pas et les caries s’y développant sont particulièrement destructrices. Le brossage de la langue et de la face interne des joues est également conseillé car une charge bactérienne importante y est également Blanchiment et facettesUn blanchiment dentaire permet d'éclaircir la teinte des dents. Il permet de gagner une voire deux teintes dans la majorité des cas. Avant de commencer un blanchiment dentaire, le praticien établira un bilan bucco-dentaire pour s’assurer qu'il n'y a pas de contre-indications au traitement caries, maladies parodontales, manque d’hygiène dentaire, etc… Gouttières ambulatoires à utiliser chez vous Le praticien prend une empreinte supérieure et une empreinte inférieure de votre bouche, et l’envoie au laboratoire qui réalisera les gouttières sur mesure. La semaine suivante, le patient repart avec son kit de blanchiment et portera les gouttières les nuits 2 semaines le haut et 2 semaines le bas maximum. Des rdvs de contrôle seront donnés au rdv pour s’assurer que le traitement fonctionne bien. Des sensibilités dentaires peuvent apparaitre lors d’un blanchiment, mais elles ne sont que temporaires. En cas de sensibilités trop importantes, n’hésitez pas à prendre contact avec le cabinet. Les facettes Les facettes sont des revêtements en céramique qui sont collés sur la dent. Après examen de votre denture, et explication du plan de traitement au patient, le praticien réalise la préparation de vos dents à minima. Une empreinte complète est prise et envoyée au laboratoire. Dès la réception des facettes, le praticien les essaye en bouche avant de les coller grâce à un système collage performant en suivant un protocole ParodontologieLe parodonte est le tissu qui maintient en place vos dents sur l’arcade. Il est constitué du tissu osseux et du tissu gingival gencive. Pour conserver des dents saines, il est donc essentiel d’assurer également la santé de votre parodonte en supprimant les dépôts de tartre visibles et non visibles qui se cachent sous la gencive. La plaque dentaire et le tartre sont les facteurs déclenchants de la maladie parodontale puisqu’ils servent de support aux bactéries à l’origine de ce phénomène. Un détartrage doit être réalisé tous les ans voire tous les 6mois. Lorsque le tartre n’est pas supprimé régulièrement, il glisse sous la gencive et vient au contact de l’os qui va peu à peu être détruit. A ce stade, un surfaçage radiculaire doit être effectué pour enrayer le processus de destruction osseuse et retrouver ainsi un parodonte sain. Vous devez en outre participer chez vous au bon nettoyage de celui-ci en utilisant une brosse à dent souple ainsi que du fil dentaire ou des brossettes Soins conservateursLes soins La carie est une maladie infectieuse des dents qui est directement liée à la présence de dépôts alimentaires acides et de sucres qui favorisent la prolifération des bactéries cariogènes nocives pour la santé bucco-dentaire. Elle se développe en priorité dans les zones les plus difficiles d’accès au brossage sillons des dents, points de contact entre les dents, collets En présence d’une carie petite à moyenne, il est possible, après nettoyage, de combler la cavité crée par des résines composites. Ces matériaux plastiques sont mis en place et sculptés pour recréer au mieux la forme initiale de la dent. C’est un matériau très esthétique puisqu’il existe différentes teintes permettant de se rapprocher au plus de la teinte de la dent. Lorsque la carie est un peu plus développée et que la reconstruction au composite est délicate entre autres lors de la reconstruction d’un point de contact large, un inlay/onlay peut être réalisé. Il s’agit d’une pièce en composite ou plus souvent en céramique crée à partir d’une empreinte de la cavité dentaire. La pièce est alors réalisée en laboratoire. Elle va ainsi s'adapter parfaitement à la dent, tout en reproduisant l'anatomie et les rapports avec les dents voisines. Les inlays/onlays sont collés à l’aide de matériau de collage très performants, qui assurent la pérennité du traitement. Lorsque la carie est décelée trop tardivement et qu’elle a atteint le nerf dentaire, un traitement radiculaire dévitalisation doit être réalisé. Le praticien va alors nettoyer l’intérieur des canaux radiculaires dans lesquels se trouvaient les nerfs, puis les obturer de façon étanche afin de prévenir toute contamination bactérienne future. La dent n’est alors plus vivante mais reste conservable après la mise en place d’une résine composite ou d’un inlay-onlay. Il est nécessaire de faire une visite de contrôle tous les ans voire tous les 6mois afin de déceler et traiter rapidement les caries avant qu’elles ne soient trop grosses. 06. ImplantologieUn implant dentaire est une racine artificielle en titane, biocompatible, qui sert à remplacer la racine d’une dent abîmée ou manquante sans toucher aux dents voisines. Il sert de support à une prothèse dentaire fixe couronne, bridge ou de point d’ancrage à une prothèse dentaire amovible. Pour pouvoir assurer la mise en place d’un implant, il est indispensable que le patient ait une hygiène bucco-dentaire irréprochable et qu’il ne présente pas de contre-indications déficit osseux trop important, tabagisme, etc… Après un bilan clinique général et bucco-dentaire, un plan de traitement prothétique sera mis en place avec le patient. Un cone-beam radiographie 3D pourra être réalisé au cabinet dentaire pour visualiser de manière plus précise la quantité et la qualité osseuse, la situation des éléments anatomiques voisins, et planifier au mieux la pose de l’implant. Le jour de la pose, une anesthésie locale est réalisée, et le praticien procède à la mise en place de l’implant. Il peut dans certains cas notamment pour des raisons esthétiques mettre en place une couronne provisoire. Après ostéo-intégration de l’implant, une vis de cicatrisation sera vissée sur l’implant pendant deux semaines, permettant de mettre en forme la gencive périphérique. Puis une empreinte globale sera prise et envoyée au laboratoire. La pose de la couronne ou du bridge se fera lors de la séance suivante. Les implants permettent également de stabiliser des prothèses amovibles complètes. Deux implants ou plus dans certains cas sont posés et des systèmes de boutons pression sont mis en place dans l’intrados de la prothèse et sur la tête de chaque implant. Vous pourrez toujours enlever vos dents pour les laver et vous n’aurez plus besoin de colle pour stabiliser votre prothèse. 07. UrgenceService de garde Un service de garde est organisé les dimanches et jours fériés par le Conseil de l'Ordre Départemental des Chirurgiens-Dentistes. Vous trouverez les coordonnées du dentiste de garde dans votre quotidien régional ou en téléphonant au Conseil de l’Ordre Départemental des Chirurgiens-Dentistes de votre département. En cas de traumatisme dentaire suite à une chute ou un coup par exemple Nous vous invitons à prendre contact au plus tôt avec le cabinet, par téléphone au 03 10 07 83 97, ou avec l'hôpital le plus proche service odontologie ou stomatologie et chirurgie maxillo-faciale. En cas d’expulsion d’une dent définitive Récupérez la dent, sans la nettoyer, et la conserver dans du sérum physiologique, du lait ou dans sa propre salive. La réimplantation, si elle est possible, devra se faire aussi rapidement que possible. En cas déplacement des dents définitives Le geste d’urgence consiste à les replacer rapidement et correctement avec les doigts. Même si une dent de lait ne peut pas être réimplantée, prenez contact avec notre cabinet pour vérifier l’état des autres dents de l’enfant et pourvoir agir au plus vite si nécessaire.
WNJQ. 86 336 460 434 116 473 76 387 365
définitif prothèse amovible definitive a chassis metallique